• À pas de loup de Mylène Ormerod, aux éditions Dreelune

    Guerrier est une bête, un monstre de muscles et de puissance. Il est le danger. Un seul regard de sa part et vous frémissez. Le mystère de cette créature attire et passionne. Quelle est-elle ? Un chien ? Un loup ? Ou bien plus...

     

    L’avis de #Zouzounella : voilà une nouvelle qui mériterait d’être développée

    J’avais découvert la plume légère et talentueuse de Mylène Ormerod en lisant « Les écailles de l’âme », qui a été un véritable coup de coeur pour moi.

    Je n’ai pas été déçue à la lecture de cette nouvelle, si ce n’est que le format est bien trop court ! ;-) Oui, je sais, la particularité d’une nouvelle c’est d’être un texte court, mais là, j’aurais aimé en découvrir davantage sur l’antériorité de la situation de chacun des personnages, et pourquoi pas, soyons fous, de l’évolution ensuite !

    Il est difficile de parler des personnages évoluant dans une histoire bien menée sans spoiler l’intrigue, mais je peux vous faire partager mon ressenti.

    Toute une palette d’émotions m’a saisie lors de sa lecture : horreur et révulsion face au personnage antipathique de Robert, curiosité par rapport à Louis, le collectionneur, révolte et empathie pour la créature malmenée par la folie de l’humain, soulagement lorsqu’elle rencontre enfin Othamo, son sauveur, questionnement et compréhension sur la nature de celui-ci et de leur attirance réciproque, surprise et appréhension par la suite…

    C’est une histoire sombre et violente qui fait frissonner à maintes reprises, tout en étant compensée par la douceur de la créature mystérieuse. L’auteur maîtrise son univers, tout comme ses personnages travaillés, et distille les indices tout au long du récit, comme le petit Poucet sème des cailloux, pour nous amener en douceur au final en apothéose, dont la chute semble bien rapide, car « quand un livre est bon, il est toujours trop court » (Jane Austen).

    À pas de loup de Mylène Ormerod


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  • Chroniques de la cité d’Arenjun - Livre I : Le clan du sanglier de Olivier Walter & Stéphane Lesieur, aux Éditions Hélène Jacob, 25 mai 2015

    Dans la vieille cité d’Arenjun, deux personnages hauts en couleur – Kasim, le légendaire guerrier nain, et Serpent, l’Archimage maître de la Tour – se livrent à une compétition acharnée au travers des histoires qu’ils racontent dans une auberge.
    Ce soir, c’est Kasim qui doit relever le défi et tenir son auditoire en haleine. Le nain va raconter l’histoire des tribus nomades de la lande d’Achenard et de leur grand rassemblement du printemps.

    Chaque année, les tribus se rencontrent : elles vont commercer, renouer leurs alliances et procéder au passage à l’âge adulte de leurs jeunes au travers d’une quête qui leur sera donnée.
    Mais cette année-là, rien ne se passa comme prévu : le peuple gnome prit les armes contre celui des tribus et la guerre éclata. Que fallait-il faire ? Aller au combat, au risque de mécontenter les esprits protecteurs en violant la coutume ? Ou respecter la mémoire des ancêtres et organiser le rassemblement ?

    Tandis que le lecteur suit le déroulement de l’histoire racontée par le guerrier nain, la perplexité de l’Archimage ne cesse de croître : d’où Kasim tient-il son récit ? Il sort sans doute, et comme d’habitude, de son imagination, mais si les faits racontés se sont vraiment déroulés, alors il y a beaucoup plus urgent à faire que de rester assis dans une auberge à écouter des histoires !

     

    L’avis de #Zouzounella : Waouh ! J’en veux encore !

    Comme je suis une grande amatrice de fantasy, au point d’avoir mené des quêtes dans des jeux de rôle (à vous de deviner quel était mon personnage de prédilection, dont j’ai conservé le nom), j’ai été interpellée d’abord par la couverture, qui m’a incitée à lire la présentation et là je me suis dit : je dois le lire !

    Grâce à Sorcha et aux éditions Hélène Jacob, mon souhait a été exaucé et, là, les fées ne m’ont pas établi un marché de dupes : j’ai été happée dans ce monde et ai suivi l’aventure haletante de ses jeunes héros avec enthousiasme.

    J’ai aimé retrouver des thèmes classiques de l’univers fantasy, mais l’interprétation de ceux-ci par ses auteurs est vraiment originale.

    L’idée du conte dans une histoire plus vaste est intéressante et l’interaction entre le récit et le présent de Kasim et Serpent laisse présager une suite, qui sera tout aussi exaltante, enfin je l’espère !

    Par ailleurs, les péripéties des jeunes gens qui partent mener leur quête initiatique, qui est un peu plus que cela cette fois-ci, ne manquent pas de rebondissements et leur esprit de sacrifice pour le bien de l’équipe et de leurs peuples est admirable. On sent leur amour de la nature et de sa préservation, ainsi que la conservation de la paix entre les différentes ethnies pour le bien de tous. Ce qui amène à la magie chamanique, qui a aussi un rôle puissant dans le roman.

    Que dire de plus, si ce n’est que j’étais impatiente d’en connaître la fin, tout en étant désolée de devoir le refermer, avec une dernière ? interrogation en suspens. Vite, la suite !

     

    Pour en découvrir davantage sur cet univers et ses auteurs, n’oubliez-pas de consulter l’ITW spécial Salon Fantastique Paris mai 2017 !

    Chroniques de la cité d’Arenjun - Livre I : Le clan du sanglier de Olivier WALTER & Stéphane LESIEUR


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  • ITW Emma Cornellis

    Emma Cornellis nous parle de son roman « Les plaines du Mayjong »

    Bonjour, Emma Cornellis, tout d’abord je te remercie d’avoir bien voulu répondre à ce jeu de question/réponse ;-)

    1.       Peux-tu te présenter ?
    Je vis actuellement dans un petit village du Val d’Oise, mais j’ai longtemps vécu à l’étranger, aux Pays-Bas pour être précise. Je suis mariée depuis 8 ans avec l’homme qui partage ma vie depuis 25 ans, et nous avons trois enfants, deux garçons et une fille, tous à des stades différents de l’adolescence !
     

    2.       L'écriture est-elle ton métier ou en as-tu un autre ?
    Je n’ai pas d’autre métier que l’écriture actuellement. J’ai travaillé un temps comme attachée commerciale et je suis aussi diplômée des Beaux-Arts de La Haye aux Pays-Bas.
     

    3.      Depuis combien de temps écris-tu ?
    J’aurai tendance à répondre depuis que j’ai appris à écrire ! Vers dix, douze ans, je remplissais les journaux intimes que l’on m’offrait avec les histoires que j’inventais ! Plus tard, j’ai écrit quelques nouvelles, des débuts de romans jamais achevés…
    Les Plaines de Mayjong est vraiment mon premier roman. Je l’avais en tête depuis pas mal d’années et il y a de cela quatre ou cinq ans, j’ai décidé qu’il était temps d’aller jusqu’au bout pour voir si j’en étais vraiment capable !
     

    4.       Qu’est-ce qui t’a donné l’envie d’écrire, en général ?
    L’envie de raconter mes histoires bien sûr !
     

    5.       Où puises-tu ton inspiration ? Quelles sont tes habitudes d'écriture ? (heure, endroit, rituel ?...)
    Je puise mon inspiration surtout dans mon imagination en fait. Bien sûr mes lectures ou le cinéma alimentent cette imagination, mais aussi l’actualité, un reportage sur l’exploration spatiale ou un débat ! Je crois que lorsqu’on a de l’imagination tout est prétexte à affabuler !
    J’écris la journée, surtout le matin, je n’ai pas de rituel particulier, mais il me faut un endroit calme. J’écoute volontiers de la musique, mais jamais en écrivant, cela me déconcentre trop !
     

    6.      Qu’est-ce qui t’a inspiré pour écrire ce roman ?
    Évidemment la Mongolie m’a beaucoup inspirée pour ce roman ! Mais les plaines que je décris sortent entièrement de mon imagination. La Mongolie représente pour moi un lieu mythique et idéal. Je n’y suis jamais allée et pendant l’écriture de mon roman, j’ai volontairement évité de trop me renseigner sur ce pays, pour que les plaines de Mayjong restent exactement comme je les imagine !
     

    7.          Peux-tu nous le présenter, de quoi parle-t-il ?
    C’est l’histoire de Pauline, une jeune étudiante un peu trop timide et rêveuse. Elle commence à faire des rêves de plus en plus étranges, « des rêves qui ressemblent à des souvenirs », comme elle dit. Pourtant elle sait très bien que c’est impossible ! Mais ses songes sont de plus en plus précis et réalistes et surtout il y a Tao. Un jeune esclave qui semble faire partie de ce songe et fait chavirer son cœur. Elle n’arrive plus à sortir son image de sa tête, elle se dit qu’elle est en train de tomber amoureuse d’un rêve et va tenter de faire disparaitre cette obsession. D’abord en lui trouvant une explication rationnelle (dans son passé), puis en se jetant dans une relation très ambiguë avec Christophe. Un jeune homme bien réel, dont elle est un peu amoureuse.
    Mais Tao et son monde ne vont pas la quitter, bien au contraire ! Alors elle va commencer à se poser des questions qui lui paraissent tellement folles qu’elle va se demander si elle n’est pas en train de perdre la raison…
     
     

    8.      Comment sont nés tes personnages ?
    L’héroïne ressemble un peu à la jeune fille que j’ai pu être à une époque, et certains personnages sont inspirés par les amies que je côtoyais étudiante, mais de très loin ! Par exemple le personnage de Jane est un mélange d’au moins deux personnes réelles ! Sinon pour les personnages sur les Plaines de Mayjong, beaucoup sont nés au fur et à mesure du récit en fait !
     

    9.        Comment as-tu choisi leurs prénoms ? As-tu d’abord eu l’idée du prénom en lui-même ou cela t’est venu après avoir dessiné leur caractère ?
    Les prénoms viennent après, parfois même en dernier. Pour les personnages à Mayjong, je suis allée voir sur des sites de prénoms chinois, pour trouver de l’inspiration ! Pour les personnages évoluant dans le monde étudiant de Pauline, j’ai eu recours à des prénoms temporaires quand je n’arrivais pas à me décider ! Le problème (ou pas !) c’est qu’ensuite le personnage s’approprie tellement son prénom que je suis incapable d’en changer !
    Une exception, c’est le personnage du héros ! Tao est né avec son prénom et j’ai même été assez surprise ensuite en apprenant que ce prénom existait vraiment.
     

    10.    Ton roman est-il totalement fictif ou as-tu ajouté une part de toi même ?
    Comme je l’ai dit précédemment, il y a une part de moi-même dans le personnage de Pauline et aussi dans sa vie d’étudiante, mais pour le reste tout est entièrement fictif.
     

    11.     Comment t’es venue l’idée de cette intrigue onirique ?
    Difficile de répondre ! Je crois qu’à l’origine il y a cette question qui m’intrigue : qu’est-ce que la réalité ? Pourquoi notre monde se réduirait-il à ce que nous pouvons en percevoir ?
     

    12.    Pourquoi les lecteurs devraient-ils lire ton roman, à ton avis ?
    Pour rêver et découvrir des terres inconnues. Les plaines de Mayjong, mais aussi les errances de Pauline qui ne sait où s’arrête le rêve et où commence la réalité. Et puis c’est aussi et surtout une histoire d’amour pleine de rebondissements qui vous fera faire un beau voyage, je l’espère !
     

    13.     Ce roman est-il ton premier écrit ou en as-tu d'autres à ton actif ? Si oui, lesquels et de quels genres ?
    C’est mon premier roman publié et mon premier roman tout court !
     

    14.    As-tu d'autres projets en vue ? Si oui, lesquels ?
    Je me suis lancée dans l’écriture d’une trilogie qui devrait sortir au début de l’année prochaine ! Cette fois je compte vous emmener dans le futur, sur la première exoplanète découverte par l’homme ! Vous y découvrirez Lola, une adolescente qui n’aurait jamais dû naître là-bas et Zven, son ami imaginaire… enfin peut-être pas tout à fait imaginaire !
     

    15.     Veux-tu rajouter quelque chose pour finir ?
    Rien à rajouter !
      

    Interview " si" 

    ·         Si tu avais une baguette magique, qu'en ferais-tu ?
    Bon alors on va éviter les clichés de type « je ferais disparaitre la faim dans le monde » et être très égoïste : je lui ferais faire le ménage, le repassage, les repas et même les courses !
     

    ·        Si tu pouvais vivre à une autre époque, laquelle choisirais-tu ?
    Le Moyen-Age si j’étais une noble Dame ! Ou bien l’époque de la découverte de l’Ouest aux États-Unis et je serais une pionnière !
     

    ·        Si tu devais revivre une journée sans arrêt, quelle serait-elle ?
    C’est dur comme question ! Même les meilleurs moments doivent finir par lasser ! Ah si, je sais ! Un matin de Noël quand mes enfants croyaient encore au Père Noël. Parce que les enfants qui ne font pas de différence entre réel et imaginaire, c’est juste magique !
     

    ·         Si tu pouvais changer quelque chose dans ta vie, qu’est-ce que ce serait ?
    Rien du tout !
     

    Portrait chinois : (donne la réponse et le pourquoi, STP)  

    ·        Si tu étais une chanson tu serais...
    Let’it be des Beattles ! Je suis une incorrigible optimiste, comme dans la chanson je pense que, au fond, il y a toujours une raison de croire en l’humanité.
     

    ·         Si tu étais un être surnaturel, tu serais...
    Une fée, pour avoir une baguette magique (qui ferait mon ménage…etc) !
     

    ·         Si tu étais un poème, tu serais...
    Je ne suis pas très branchée poésie 
    smile! Alors je choisis « La Quête » de Jacques Brel. Une chanson qui me donne des frissons chaque fois que je l’écoute. C’est un texte magnifique sur la poursuite d’un rêve, d’un idéal ou d’un amour.

    ·         Si tu étais un genre littéraire, tu serais...

    Du Fantastique bien sûr, parce que je ne vis pas dans une seule réalité ! 

    ·         Si tu étais un animal mythologique, tu serais...
    Une licorne parce que ma fille est folle des licornes !
     

    ·        Si tu étais le personnage d'un roman, tu serais...
    A part Pauline ? Je me vois bien dans les héroïnes de Jane Austen peut-être. Parce que ce sont des femmes romantiques avec des valeurs et qui malgré une société qui leur laisse peu de choix et peu de place, finissent par s’affirmer, faire des mariages d’amour et rester fidèles à leurs valeurs.

    ITW Emma Cornellis

     

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  •  Liste des Auteurs rencontrés lors du Salon Fantastique de Paris les 06 et 07 mai 2017

     

    ·         Angel Arekin : Le porteur de mort – T1 – L’apprenti et T2 – Tenshin   

    ·         Aurore Aylin : série les Kergallen   

    ·         Corinne Guitteaud : 393 Résidence Avallon (Les Égériades - T1)   

    ·         D. Lygg : série Entre 2 mondes et Les gardiens de l’ordre sacré- T1 -Le Highlander  

    ·         Emma Cornellis : les plaines du Mayjong   

    ·         Emmanuel Delporte : Stalingrad  

    ·         K. Aisling - série Incandescente 

    ·         K. Sangil : Trilogie Le clan Tarran  

    ·         Laura Black : La Meute de Mervent   

    ·         Loïc Lendemaine – Anthologie Otherlands by Gaslight 

    ·         Mélanie Baranger – Au-delà des Limbes 

    ·         Mélanie Wency : L’envers du paradis T1 – 2 et 3 

    ·         Nathalie Di Meglio : L’Ordre des gardiens – Tome 1 L’élue et Tome 2 La quête 

    ·         Sandra Triname : Salem et À ma vie, à ta mort  

     ·        Shirley. J. Owens : Rebel 

    ·         Stéphane Lesieur & Olivier Walter Chroniques de la cité d’Arenjun - Livre I : Le clan du sanglier et Livre II : Serpent  

    ·         Vincent Portugal Le Souffle des Dieux, Tome 1 : La Magie Perdue et Le Souffle des Dieux, Tome 2 : Le Chant des Djinns   

    ·         Ysaline Fearfaol / Ayleen Night : série la meute des de Chânais & La légende de Djaïd / série La défaite, série Désirs inconnus, série Terre des Castes  

     


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  •  

    ITW Angel Arekin

    Angel Arekin nous parle de son roman « Le porteur de mort-T2- Tenshin »

    Bonjour, Angel Arekin, tout d’abord je te remercie d’avoir bien voulu répondre à ce jeu de question/réponse ;-)

    1. Peux-tu te présenter ?

    Je suis une maman épanouie de 36 ans, je vivote entre mon boulot, ma vie d’écrivain, ma vie de femme et d’épouse et de mère… Bref, je suis tout à fait normale, mais je vis souvent dans des mondes qui en sont très éloignés.

    2. L'écriture est-elle ton métier ou en as-tu un autre ?

    J’en ai un autre, plus alimentaire, mais qui reste tout de même dans la rédaction : je suis rédactrice de débats. 

    3. Depuis combien de temps écris-tu ?

    Je ne me souviens pas de n’avoir jamais écrit, en réalité. 

    4. Qu’est-ce qui t’a donné l’envie d’écrire, en général ?

    La lecture, tout d’abord. Quand on s’immerge dans une histoire, on s’évade et j’ai eu envie de m’évader encore plus, à travers mon propre univers. 

    5. Où puises-tu ton inspiration ? Quelles sont tes habitudes d'écriture ? (heure, endroit, rituel ?...)

    Je n’ai pas de rituel, en dehors d’un café et de la musique, la musique étant pour moi ma principale source d’inspiration. Une mélodie me raconte déjà une histoire. Ensuite, bien sûr, les romans, quel que soit le genre d’ailleurs. Les films et séries, parfois, et la vie quotidienne. On rencontre parfois des gens fascinants. 

    6. Qu’est-ce qui t’a inspiré pour écrire ce roman ?

    J’ai commencé à écrire le Porteur de Mort à 20 ans. Je ne vous cache pas que je ne me souviens pas de tout ce qui a pu m’y pousser, mais je venais de découvrir la fantasy à travers le seigneur des anneaux et l’assassin royal, et j’ai tellement aimé cet univers où tout est permis, que j’ai eu envie de m’y confronter.  

    7. Peux-tu nous le présenter, de quoi parle-t-il ?

    Décrire une saga de 6 tomes, ce n’est pas une mince affaire. Disons que nous partons d’un jeune homme de 17 ans adepte des conneries, qui se retrouve confronté au choix de sa vie : partir durant 5 ans en apprentissage pour intégrer l’une des confréries de son royaume les plus puissantes, et ainsi prouver à tous qu’il vaut quelque chose, ou bien, poursuivre ses petits méfaits qui le conduiront probablement un jour à la potence…

    Le voici donc en route pour s’éclater pendant 5 ans avec des maîtres de guerre hors norme (dans tous les sens du terme). L’apprentissage n’est pas de tout repos, et pour le disciple et pour les enseignants !

    Seïs est un antihéros pur souche, on aime le détester, on aime le voir évoluer au fil des tomes.

    La saga se découpe en deux voix, d’une part celle du héros, Seïs, et d’autre part, celle de sa cousine, Naïs dont le destin n’aura rien à envier à celui de son co-narrateur. La saga débute. C’est une mise en bouche et chaque tome monte d’un cran. 

    8. Si cette histoire est déclinée en plusieurs tomes, combien de tomes comptera-t-elle et à combien seraient espacées les dates de sorties ?

    6 tomes au total, d’ores et déjà achevés. Normalement, sauf changement, un tome par an. 

    9. Comment sont nés tes personnages ?

    Très bonne question. J’ai commencé la saga quand j’avais 20 ans, autant dire que ça date un peu, puisque j’en ai 36 ! Je suis incapable de m’en rappeler. Le personnage de Seïs est né de Zeek dans the Faculty. Oui, la référence vaut le coup ;) Parce que j’adorais son sens de la rébellion et de la survie, ainsi que sa répartie et sa belle gueule !

    Mais je n’ai pas commencé la fantasy par le Porteur de mort mais par un préquel qui n’a jamais vu le jour, et qui deviendra probablement un spin off plus tard. 

    10. Comment as-tu choisi leurs prénoms ? As-tu d’abord eu l’idée du prénom en lui-même ou cela t’est venu après avoir dessiné leur caractère ?

    Je pars toujours du prénom pour déterminer le caractère. Mais je ne choisis pas vraiment, en réalité, ils s’imposent d’eux-mêmes. 

    11. Ton roman est-il totalement fictif ou as-tu ajouté une part de toi même ?

    Je pense que tous les auteurs ajoutent toujours une petite part d’eux-mêmes dans leurs écrits. Seïs possède mon côté râleur ;) mais le reste est totalement fictif. 

    12. Pourquoi les lecteurs devraient-ils lire tes romans, à ton avis ?

    S’ils désirent s’évader, découvrir un nouvel univers, rigoler un peu et s’enfermer dans leur bulle, c’est à cela que servent les romans, n’est-ce pas ? Celui-ci ne déroge pas à la règle. C’est une porte vers l’aventure, l’épopée, le dépaysement total. 

    13. Tu écris d’autres genres que la Dark Fantasy, notamment de la romance et même, récemment, un roman tiré d’un jeu otome (Gabriel) : qu’est-ce qui te plaît dans cette diversité ?

    Justement la diversité. J’aime toucher à tout ; j’aime créer des univers, des personnages variés et j’ai le goût des défis. Pourquoi rester uniquement sur un seul genre ? Le thriller m’attire aussi beaucoup. 

    14. Cela te permet-il d’agrandir ton public ?

    Quand j’écris, je ne pense jamais en termes de public. J’écris d’abord ce qui me fait envie, ce qui m’envoûte moi-même. Si mes romans trouvent ensuite leur public, j’en suis plus que ravie, mais je crains que ça ne parte au départ d’un désir très égoïste. 

    15. As-tu d'autres projets en vue ? Si oui, lesquels ?

    Oh ! La liste est sacrément longue !

    J’ai plusieurs projets de romance en collaboration avec BMR ainsi que Nisha, bien sûr, mais également mon premier amour, la fantasy, se poursuit avec Plume Blanche. J’ai donc un spin off du Porteur de Mort à retravailler, ainsi que deux autres romans liés au même monde d’ailleurs, en prévision, dont un qui est écrit, mais pas le tome 2. 

    16. Veux-tu rajouter quelque chose pour finir ?

    J’espère que vous apprécierez mon univers, que vous vous y laisserez tomber pour ne plus avoir envie d’en sortir ;)

     

    Vous pouvez re-découvrir d’autres informations dans la rubrique BONUS !

     ITW Angel Arekin ITW Angel Arekin

     

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