• Bonjour à toutes et à tous !


    Tout d'abord, un grand merci à Zouzounella pour ce petit focus sur mes écrits, mon univers.


    Alors pour commencer, je pense plus judicieux de vous parler de la trilogie Entre II Mondes.

    Entre II Mondes, au départ, cela commence par une banale histoire autour d'une jeune femme, Moira, de 18 ans qui tout d'un coup est confrontée à des phénomènes étranges dans à son quotidien, mais aussi ses songes. Dans les premiers chapitres, nous découvrons sa vie, sa famille, ses amies, celui qui fait battre son cœur... puis, on se rend rapidement compte que sous tout cela se cache autre chose, qu’il y a plus… Le lecteur sent que certaines informations cruciales lui échappent, tout comme à l'héroïne. J'ai volontairement installé cette ambiance "paranoïaque" afin que les émotions du lecteur soient proches de celles que ressent l'héroïne.
    Puis, survient le "sauveur", celui qui éclaira quelques zones d'ombres pour Moira. Il s'agit du personnage d'Alastar. Ce dernier appartient à l'Ordre Sacré des Gardiens du Temple (une catégorie de personnages qui fait l'objet d'une nouvelle trilogie, dont le 1er tome : Le Highlander est paru en novembre 2016).

    L'histoire de Moïra, la jeune fée de sang mêlé, s'étale sur 3 tomes : Livre I, Réminiscences/ Livre II, Le Passage / Livre III, La Guerre.

    Trois tomes, parce que parallèlement à la quête de la jeune femme à propos de ses origines et de la menace pesant sur ses épaules, j'ai développé tout un univers, dont les différents acteurs (elfes, fées, nains, Phoenix, Dragons, Sirènes, Mercenaires, contrebandiers, etc...) ont leur propre combat à mener. Toutefois, ces derniers et Moira ont un ennemi commun : un sorcier qui menace l'existence même des deux mondes, et de Moira...
    Dans cette trilogie, j'ai mélangé tout ce que j'aimais : l'aventure, la romance, la fantasy, l'amitié, le don de soi sur fond de combat entre le bien et le mal. Seulement, j'ai une vision assez particulière de ce que sont le bien et le mal. Je pars du principe que tout n'est pas noir ou blanc, mais un dégradé de gris. Une personne bonne et gentille peut être amenée à passer du "côté obscur" pour des raisons précises qui la dépasse. C'est là tout le questionnement de la jeune Moira tout au long du récit. Elle a peur de ses dons et de ce qui pourrait arriver s'ils tombaient entre de mauvaises mains, et même de ce qu'elle pourrait en faire.

    Heureusement, elle pourra compter sur ses alliés, notamment les Gardiens de l'Ordre Sacré.

    Ensuite, je l'ai mentionnée plus haut dans mon commentaire, mais la trilogie Entre II Mondes a révélé une catégorie de personnages qui ont beaucoup plu à mes lectrices et lecteurs : les Gardiens de l'Ordre Sacré.
    Certains d'entre eux ont même des fans ;-)

    Alastar est l'un d'eux. Dans Entre II Mondes, il apparaît comme secret, peu bavard, mais d'une droiture et d'une fidélité à toute épreuve. Il est celui sur qui on peut compter. On sent également un lourd passé, bien caché sous une épaisse carapace d'acier forgée au fil des siècles et des épreuves.
    J'ai veillé à disséminer quelques indices sur ce qu'a été sa vie avant d'intégrer l'Ordre Sacré dans la trilogie ; éveillant ainsi la curiosité du lecteur à son égard.

    Et puis, après avoir écrit le dernier tome d'Entre II Mondes, j'ai contacté mon éditeur (Les Éditions Hélène Jacob) pour lui dire que j'étais prête à dévoiler le passé de l'énigmatique gardien et protecteur de Moira dans un nouveau roman. C'est ainsi que je me suis plongée dans l'atmosphère de l’Écosse (et plus précisément des Hébrides Intérieures Skye, Mull) du XIVe siècle, période contemporaine d'Alastar et de son clan : les MacKinnon. J'ai volontairement placé Alastar dans un environnement réel, un clan avec des personnages ayant bel et bien existés pour la plupart afin de pouvoir l'intégrer à une intrigue autour des rivalités politiques de l'époque. Bien sûr, je ne parle pas que politique. Avant tout, il s'agira de comprendre Alastar, le connaître davantage pour mieux cerner l'homme sous le gardien.
    Et puis, c’est l'occasion de le découvrir sous un nouvel angle.
    La romance dans ce tome prend une plus grande place que dans la trilogie Entre II Mondes. Pourquoi? Parce qu'elle sera déterminante dans le devenir du personnage. C'est un point essentiel, je dirais.

    Mais l'envie de consacrer un tome au personnage de Gabriel, lui aussi fortement apprécié, m'a poussée à m'engager dans l'écriture d'une nouvelle trilogie. Puis l'enthousiasme d'Hélène et de Marie-Pierre, mes éditrices, ainsi que de mes lecteurs a fait le reste.

    Vous vous demandez certainement pourquoi je ne cite pas de troisième gardien. Eh bien parce qu'avec ce troisième et dernier tome des Gardiens, je réserve une surprise à mes lecteurs...

    Je vous en parlerai un peu plus tard, pour l’instant c’est top secret. Oui, je sais, j'ai un petit côté sadique. J'ai reçu pas mal de messages de personnes ayant lu la trilogie, puis le Highlander, qui m'ont trouvé ce défaut. Mais vous savez quoi? On ne se refait pas ^^

    Encore une fois, je remercie Zouzounella pour ce temps de parole. J'espère que cela vous plaira.

    À très bientôt, chers lecteurs.
    D.Lygg

     

     


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  • BONUS : Valérie Simon nous parle sa saga Le Tigre de Tarcoola.

    Bonjour Valérie ! Tout d’abord, je te remercie d’avoir bien voulu répondre à ce jeu de question/réponse ;-)

    Bonjour ! C’est moi qui te remercie de m’accorder ce petit temps de parole.

     

    1. Peux-tu te présenter ?

    Eh bien, je m’appelle Valérie SIMON et je passe une grosse partie de ma vie à écrire des histoires de Fantasy ou de Fantastique. Je m’amuse aussi beaucoup à faire de la pâtisserie en compagnie de mon robot baptisé Terminator. Je suis fan de thé, de macarons, de crème de marrons et d’Harrison Ford ! J’aime bien Chris Pratt aussi, et les barbares en kilt. Et j’acclimate des plantes exotiques sur ma terrasse lyonnaise : c’est un challenge qui me plait !

     

    2. Depuis combien de temps écris-tu ?

    J’ai l’impression de toujours avoir écrit. J’ai dû commencer mes premières histoires lorsque j’avais 9 ou 10 ans. À l’époque, je remplissais des petits carnets. Plus tard, j’ai noirci des cahiers. Plus tard encore, vers l’adolescence, mes parents m’ont offert une machine à écrire. Je passais vraiment énormément de temps à écrire… Je me souviens d’ailleurs d’une de mes premières histoires, je devais avoir 9 ans… la réécriture du roman Le Lion de Joseph Kessel, parce que bon, la fin, c’est tout simplement pas possible !

     

    3. Qu’est-ce qui t’a donné l’envie d’écrire, en général ?

    Je pense que j’ai commencé à écrire parce que je lisais des histoires qui ne me plaisaient pas à 100 %. Depuis toute petite, je lis énormément et vraiment de tout. Certaines histoires que j’adorais me laissaient sur ma faim. Par exemple, j’adorais les récits de science-fiction, d’aventures ou de fantasy. Je crois avoir lu tous les Bob Morane. Mais il faut bien reconnaître que dans ce genre d’histoires, surtout dans les années 80 et 90, la fille est presque toujours une potiche qu’il faut sauver. Moi, ça ne me convenait pas. J’avais envie que l’héroïne apporte quelque chose à l’histoire. Qu'elle soit un vrai personnage. Alors, très vite, j’ai écrit mes propres aventures.

     

    4. Où puises-tu ton inspiration? Quelles sont tes habitudes d'écriture ? (heure, endroit, rituel...)

    Je n’ai pas particulièrement d’habitudes d’écriture. Je peux écrire n’importe quand, n’importe où, en voyage, à l’hôtel, dans un train. J’aime d’ailleurs beaucoup m’installer dans un endroit inconnu, sur un banc dans un parc par exemple ou à la terrasse d’un café. Maintenant, je suis aussi très pragmatique et la plupart du temps j’écris chez moi. Je me suis d’ailleurs aménagé un chouette coin bureau qui donne sur la terrasse, pour avoir une vue sur l’extérieur, les fleurs, les nuages, les oiseaux. Je déteste être confinée dans une pièce sans fenêtres, j’ai besoin de regarder la nature, le vent. Un de mes moments préférés est le matin. J’adore voir l’aube se lever...

    Après, je ne crois pas avoir de rituels ou de maniaqueries… J’ai juste besoin d’être à l’aise, dans un certain silence, et de faire régulièrement des pauses thé.

    Quant à trouver l’inspiration… c’est drôle parce qu’on me demande souvent d’où elle vient, comme si l’avoir ou non dépendait d’une recette… En fait, je crois surtout que l’inspiration nait dans un cerveau qu’on nourrit. Je lis énormément, tout ce qui me tombe sous la main, de préférence des romans mais aussi des nouvelles, des magazines, des revues scientifiques… Je regarde des films, des séries, des documentaires, l’actualité. Je suis fan des Star Wars et des Indiana Jones de la première heure, de séries comme Walking Dead et Doctor Who. J’adore les vieux westerns et les récits d’explorateurs. J’ai grandi avec Daktari, Tarzan, Flipper le dauphin et Belle et Sébastien. Ça laisse des traces ! J’aime l’aventure, l’étrange, le dépaysement, le thriller, les frissons, le rire, l’action et les belles histoires romantiques où la demoiselle n’est pas la greluche de service… Je suis aussi une infatigable curieuse. J’ai besoin de voyager, de découvrir des endroits, de visiter des villes, des musées, marcher dans la forêt, observer, essayer de comprendre. Ressentir les choses, avoir des émotions… Certaines personnes fonctionnent à l’adrénaline pour se sentir vivant, moi, je fonctionne aux sensations. Voir, entendre, toucher, sentir, ressentir… Avec de tels aliments, les idées viennent vite !

     

    5. Qu’est-ce qui t’a inspiré pour écrire cette saga ?

    J’ai immédiatement eu envie d’écrire une aventure romanesque. J’ai donc commencé à réfléchir au pays qui pouvait l’accueillir. Je voulais quelque chose de sauvage, de difficile à vivre, mais où la vie serait magnifiée par des paysages sublimes… De l’exotisme, certes, mais pas uniquement le truc sable blanc et cocotiers. Plutôt une ambiance western dans des étendues vierges de présence humaine. Avec des couleurs, des sons, des bestioles bizarres. Un festival de sensualité. Et aussi une formidable aventure humaine… Parce qu’au-delà du récit romantique, je voulais aussi parler des aborigènes, de la colonisation, de la religion… L’Australie, avec sa terre rouge, sèche et poussiéreuse, porte toute la saga à bout de bras. Dans un tel pays, avec tant de possibles, on ne peut que croiser des héros pur fantasme, non ?

     

    6. Peux-tu nous la présenter, de quoi parle-t-elle ?

    Nous sommes à la fin du 19e siècle, au moment de la colonisation. À cette époque, des contingents entiers de femmes étaient envoyés en Australie pour peupler les colonies. Ces femmes devaient se marier et faire des enfants. On ne leur demandait rien d’autre. Madeleine, mon héroïne, est orpheline et n’a rien à perdre. Elle espère vraiment avoir une vie meilleure. Sauf que l’Australie n’a rien d’un pays de cocagne. D’abord, il fait chaud, poussiéreux, et il y a des bêtes partout : des crocodiles, des serpents, des dingos qui mangent des requins. Et puis, la ville qui l’attend n’est en réalité qu’un village misérable où sévit le Tigre de Tarcoola. Homme ou bête, personne ne le sait. Seule certitude, il assassine une femme à chaque pleine lune. Madeleine, catapultée dans ce cauchemar, ne sait pas à qui se fier : à l’inquiétant mais si séduisant Jarod, dont elle aime tellement les baisers, ou au jeune et riche Edmon, si prévenant…

    Le roman Le Tigre de Tarcoola est proposé en feuilletons numériques par le label Badass. Il est composé d’un épisode 0, Le Rire du kookaburra, qui est un prologue en téléchargement gratuit. Il est suivi de trois épisodes. Le Cavalier d’Esperance (#1), Le Souffle de la Bête (#2) et La Fille à la Winchester (#3). L’ensemble forme un roman d’aventures plein d’actions, de mystères, de beaux sentiments et d’hommes sexy !

     

    7. Si cette histoire est déclinée en plusieurs tomes, combien de tomes comptera-t-elle et à combien seraient espacées les dates de sorties ?

    Pour l’instant, rien n’est encore défini. L’univers australien est passionnant et j’ai vraiment eu beaucoup de plaisir à m’y promener… Peut-être que je reviendrais m’y amuser, en reprenant les mêmes personnages, ou pas. Du coup, il est beaucoup trop tôt pour envisager une date de sortie…

     

    8. Comment sont nés tes personnages ?

    J’avais en tête une histoire d’amour sensuel basée sur un trio. Je voulais aussi que mon histoire soit plus qu’une simple romance. En faisant mes recherches sur la faune, la flore, les us et coutumes de l’Australie, j’ai découvert l’existence d’un « tigre » mystérieux qui s’en prenait aux moutons au milieu du 19e siècle. Ça m’a donné un point de départ. À partir de là, j’ai défini les caractéristiques physiques et psychologiques de mon héroïne. Je lui ai donné un passé. Je voulais que le lecteur comprenne la complexité de sa vie, et le danger qu’elle vit. Madeleine est constamment en équilibre sur un fil.

    J’ai ensuite travaillé mon triangle amoureux. Les deux personnages masculins devaient être différents l’un de l’autre, bien sûr, et assez ambigus. Je tenais à ce qu’on ne sache pas trop vite qui est le bon, et qui est le méchant. Et puis, surtout, je ne voulais pas d’un prince charmant sirupeux, qui incarnerait la bonté au point d’en être mièvre comme on le voit trop souvent dans les contes. J’aime les personnages « vivants ». Avec leurs failles, leurs erreurs, leurs regrets, leurs envies.

     

    9. Comment as-tu choisi leurs prénoms ? As-tu d’abord eu l’idée du prénom en lui-même ou cela t’est venu après avoir dessiné leur caractère ?

    Je travaille toujours mes personnages de la même façon : je fais une sorte de petite fiche où je note toutes les caractéristiques qui me plaisent, aussi bien dans le caractère que dans le physique. Presque immédiatement, je cherche un prénom. Utiliser un prénom tout de suite donne une existence au personnage. Il sert à asseoir sa personnalité. Je m’efforce toujours de trouver des prénoms qui ont un sens. Ou qui représentent un symbole.

    Vu le contexte historique, il me fallait donner à mon héroïne un prénom français de la fin du 19e. Comme cette époque est très religieuse, j’ai trouvé intéressant de partir sur la symbolique Mary (la première victime) Madeleine (mon héroïne). Madeleine est beaucoup plus indisciplinée. C’est une fille avec du caractère. Assez mad girl, en somme. Or Mad passe très bien comme diminutif de Madeleine. Et par extension, on obtient Maddie ou Maddy, typiquement anglo-saxon. J’ai trouvé ça parfait.

    Pour Jarod Wilden, le travail est assez similaire… Pour ce personnage séduisant en diable, je voulais un nom qui claque, qui intrigue, qui fasse mystérieux, sauvage, et australien, puisque lui vit là-bas depuis plusieurs générations. Un prénom qui sonne bien en bouche. Sexy, quoi.

    Enfin, pour Edmon Tudal, je voulais une sonorité à la fois aristocrate et empreinte d’une certaine brutalité. L’ambivalence de l’ange. Edmon, ça sonne un peu comme démon. C’est parfait !

     

    11. Ton roman est-il totalement fictif ou as-tu ajouté une part de toi même ?

    Ha, ha, ha ! Si tu as envie de savoir si je suis déjà tombée nez à nez avec un crocodile de sept mètres de long ou avec un beau monsieur torse nu au milieu de la jungle, me voilà contrainte de dire non. Ce roman est une pure fiction ! L’aventure, c’est bien quand c’est dans un livre… En vrai, la poussière, la sueur, les moustiques, c’est pas si glamour que ça. D’ailleurs, perso, j’aimerais pas trop rencontrer un crocodile en me promenant au bord d’une mare… Par contre, dans chacun de mes romans, il y a un investissement personnel au niveau des recherches. J’aime me documenter le mieux possible. Par exemple, pour « Le Tigre », je sais (presque) tout sur la Winchester : j’ai rencontré le président de la fédé de tir, j’ai eu des cours particuliers sur le vocabulaire, sur le maniement, le chargement des balles, le tir, etc. 

     

    12. Pourquoi les lecteurs devraient-ils lire ta saga à ton avis ?

    Mais, par pur fun ! C’est un roman jouissif, rempli de merveilleux moments. On est emporté par la vie des personnages, on partage leurs moments, on vibre, on pense comme eux. On a peur ou, au contraire, on est amoureux. C’est une lecture qui rend vivant, qui est pleine de sensualité. Et qui peut aussi faire réfléchir sur les sujets évoqués en arrière-fond : la colonisation, la religion, le fanatisme, la volonté de puissance…

     

    13. Cette série est-elle ton premier écrit ou en as-tu d'autres à ton actif ? Si oui, lesquels et de quels genres ?

    Je suis publiée depuis 1997. Ma première saga Arkem, la pierre des ténèbres est une série en 4 tomes de Romantic Fantasy publiée aux éditions du Riez (Yanis, Déesse de la Mort est le tome 1). Chez le même éditeur, on trouve une autre saga de Fantasy : La Reine des Esprits, dont le premier tome, Coup d’État, est paru l’année dernière.

    Enfin, je propose aux éditions de l’Archipel la série Mysteria, dont le premier tome s’appelle La Captive des hommes de bronze. C’est de la fantasy qui lorgne légèrement vers la science-fiction : un frère recherche sa sœur sur une planète primitive peuplée de créatures préhistoriques…

    En même temps, j’écris des nouvelles ou des novellas, en anthologie ou en recueil (Cœur à corps, éditions Bragelonne). Mon dernier titre paru, Séismes, aux éditions Rebelle, est un récit assez court qui raconte les mésaventures d’une journaliste confrontée à un vampire à Bucarest.

     

    14. As-tu d'autres projets en vue? Si oui, lesquels?

    Je suis en train d’écrire le tome 2 de Mysteria, la suite de La Captive des hommes de bronze (éd. L’Archipel). J’enchaînerai avec Les Seigneures de guerre, le tome 2 de La Reine des Esprits et donc la suite de Coup d’État (éditions du Riez). Ce projet vient d’ailleurs de recevoir une Aide à la Création du CNL (Centre National du Livre). J’en suis très fière !

    D’autres projets se grefferont probablement sur ce programme déjà bien chargé, en particulier chez Badass. Sans oublier des nouvelles par-ci par-là !

     

    15. Veux-tu rajouter quelque chose pour finir ?

    Je suis présente sur les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter (@VilyaSIMON). J’ai également un site où les lecteurs peuvent suivre mes actualités, mon agenda des rencontres, mes publications ou prendre connaissance des dernières chroniques : www.valeriesimon.fr. Ils peuvent même s’abonner à une newsletter !

    Enfin, je mets toujours à l’honneur la première personne qui me demande une dédicace lors de ma présence en salon ou librairie en la prenant en photo et en l’intégrant à un album-souvenir sur le web. C’est ma façon de remercier ceux qui viennent à ma rencontre pour découvrir mes histoires.

     

     

    Interview " si"

    ·                    Si tu avais une baguette magique, qu'en ferais-tu ?

    Hormis le côté philanthrope qui permettrait de faire le bien autour de moi ?… J’aime assez l’idée des duels chevaleresques qu’on voit dans Harry Potter. Tiens, c’est une idée qui me plairait, avoir des entraînements de duel à la baguette magique !

     

    ·                    Si tu avais pu vivre à une autre époque, laquelle choisirais-tu ?

    Pas trop envie de vivre à une autre époque… La nôtre n’est pas parfaite, loin de là, mais elle me permet (à peu près) d’exister en tant que femme et en tant qu’artiste. D’avoir un certain choix de libertés. Je préfère fantasmer sur les autres époques via la littérature.

     

    ·                    Si tu devais revivre une journée sans arrêt, quelle serait-elle ?

    Plutôt que de revivre une seule journée sans arrêt, je préfèrerais vivre sans arrêt.

     

    ·                    Si tu pouvais changer quelque chose dans ta vie, qu’est-ce que ce serait ? 

    Savoir chanter. Je chante comme une casserole.

     

    Portrait chinois : (donne la réponse et le pourquoi, STP) 

    ·                    Si tu étais une chanson, tu serais...

    « Should I stay or should I go » de The Clash. Parce que c’est MA chanson.

    ·                    Si tu étais un être surnaturel, tu serais...

    Peut-être un truc qui se métamorphose. Un loup-garou… ? Mi-femme, mi-bête… hm hm. Tiens, il y a aussi les immortels. C’est pas mal, un immortel. Un truc du genre dieu vivant. Pour être copine avec Thor !

     

    ·                    Si tu étais un poème, tu serais...

    Je n’y connais pas grand-chose en poésie, non que je n’aime pas mais plutôt parce que la poésie n’est pas dans mes habitudes littéraires… J’en lis très peu… Je garde pourtant du lycée de meilleurs souvenirs de poésie que de certains textes classiques… Du coup, je proposerais Les Fleurs du Mal, de Baudelaire. J’aime leur mélange de sensualité et de morbidité.

     

    ·                    Si tu étais un genre littéraire, tu serais...

    Sans hésiter : littérature de genre. Entre polar, thriller, aventure, romance, fantasy, fantastique et SF, mon cœur balance ! J’aime qu’une écriture m’emmène ailleurs, même si, niveau style, je reste très exigeante.

     

    ·                    Si tu étais un animal mythologique, tu serais...

    J’ai quand même un faible pour le dragon. Grand. Puissant. En plus, il vole !


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  • BONUS : Anaël nous parle de son roman « Seule parmi eux »

    Bonjour, Anaël, tout d’abord je te remercie d’avoir bien voulu répondre à ce jeu de question/réponse ;-)

    1.   Peux-tu te présenter ?
    Je suis
    une auteur-nouvelliste en langue française, qui abandonne les nouvelles pour se consacrer aux romans axés sur le fantastique sentimental. 

    2.    Depuis combien de temps écris-tu ?
    Depuis plusieurs années. Ce n'est que depuis 2014 que je me suis lancée sous le format numérique et l'année dernière, j'ai décidé d'y consacrer tout mon temps. Je suis encore dans une phase de découverte, d'évolution.

    3.   Qu’est-ce qui t’a donné l’envie d’écrire, en général ?
    J'en ai besoin, tout simplement. J'en suis presque malade si je ne griffonne pas quelque part...

    4.   Où puises-tu ton inspiration ? Quelles sont tes habitudes d'écriture ? (Heure, endroit, rituel ?...)
    L'inspiration dépend surtout de mon humeur (joyeuse, réfléchie etc...). Au départ, c'était du grand n'importe quoi... J'ai donc appris à m'organiser. Parfois, je suis en mode "rush", mais cela revient à ne rien faire la semaine suivante tant je suis épuisée. Et d'autres fois, j'applique la méthode Pomodoro, qui consiste à écrire pendant un court laps de temps (par exemple vingt minutes), avant de faire une pause et d'enchaîner de nouveau. C'est la méthode que je préfère, car elle n'est pas stressante et me permet d'avancer à un rythme convenable. J'aime aussi switcher entre papier et écran. Le premier me donne plus de libertés pour un gribouillage qui me vient à l'esprit.

    5.   Qu’est-ce qui t’a inspiré pour écrire ce roman ?
    Il s'agit de Lune sibérienne, dans lequel j'avais mis en avant les Alphas. J'ai voulu me pencher sur les autres et peut-être, boucler les histoires des hommes-loups ?

    6.   Peux-tu nous le présenter, de quoi parle-t-il ?
    « Seule parmi eux » est un roman fantastique sentimental. Il se déroule dans un futur, où après une catastrophe naturelle, plus de la moitié de la population fut décimée et où la technologie fut perdue. L'histoire ne prend pas place juste derrière cette tragédie, mais lorsque l'humanité se reconstruit petit à petit. Toutefois, c'était sans compter sur l'intervention de Mère nature qui décida d'octroyer un don spécial à certains humains, les permettant de s'unir, de communiquer avec elle. A partir de cet instant, deux factions principales virent le jour : les chasseurs et les hommes-loups. L'histoire de Kana, l'héroïne, prend place quelques années après cet évènement.

    7.   Si cette histoire est déclinée en plusieurs tomes, combien de tomes comptera-t-elle et à combien seraient espacées les dates de sorties ?
    C'est la première fois que je me lance dans un roman, car je privilégiais les nouvelles, donc une série de romans... De ce fait, je ne préfère pas encore me prononcer sur une éventuelle suite. Je pense attendre la sortie de ce volume et être à l'écoute des lecteurs et lectrices. Si ceux-ci veulent une suite, je m'organiserai pour la mettre en place. Concernant les parutions, elles auront lieu à la fin de chaque trimestre (que ce soit pour ce roman en particulier ou d'autres).

    8.     Comment sont nés tes personnages ?
    Les personnages sont nés durant l'écriture. À chaque fois qu'un entrait en scène, je notais sur une feuille ses caractéristiques et son intérêt dans l'histoire. C'est donc venu naturellement.

    9.     Comment as-tu choisi leurs prénoms ? As-tu d’abord eu l’idée du prénom en lui-même ou cela t’est venu après avoir dessiné leur caractère ?
    Il y a des prénoms que j'affectionne, comme Caleb. Pour les autres, j'ai essayé de faire coller leur prénom à leur caractère.

    10. Ton roman est-il totalement fictif ou as-tu ajouté une part de toi même ?
    Alors, « Seule parmi eux » est un peu une revanche personnelle concernant « Lune sibérienne », qui mettait plus en avant les Alphas. Ici, j'ai voulu changer la donne.

    11. Pourquoi les lecteurs devraient-ils lire ton roman à ton avis ?
    Oula ! Euh... Honnêtement, je ne sais pas... Si le résumé leur plait, c'est déjà un bon début. Si l'histoire leur plait, c'est encore mieux.

    12. Ce roman est-il ton premier écrit ou en as-tu d'autres à ton actif ? Si oui, lesquels et de quels genres ?
    J'écris surtout dans le domaine du sentimental fantastique. Mais, mais... J'avoue qu'écrire de nouveau un roman contemporain me tente de plus en plus... On peut retrouver mes titres sur mon blog anaelauteur.net

    13. As-tu d'autres projets en vue ? Si oui, lesquels ?
    Et bien, justement... J'en ai peut-être trop... Mais le prochain sera sans doute axé sur du sentimental contemporain, mettant en scène des personnages adultes (plus de trente ans).

    14. Veux-tu rajouter quelque chose pour finir ?
    « Seule parmi eux » est mon premier roman, qui ne paraît pas sous forme épisodique (nouvelle). J'espère que tout se passera bien. Je te remercie de m'accompagner durant ce processus. Si je dois ajouter quelque chose, c'est que j'aimerais tester d'autres styles. Tout en sachant que me débarrasser du genre fantastique sentimental relève quasiment de l'impossible (et je n'en ai pas envie, sauf si je pars sur du sentimental contemporain). Néanmoins, j'aimerais me diriger vers des histoires plus "adultes" et peut-être même plus trash, plus gore, plus sexy... Bref, un univers et des personnages plus âgés qui ne m'imposeront pas des barrières de bienséances. (Par exemple, j'ai supprimé carrément une scène entre Kana et son loup, parce que je me suis dit "Ils n'ont que 21 ans ! Tu ne vas pas publier ça !"). Je ne sais pas si tu affectionnes ce style plus libre que je vise, mais, en tout cas, tu seras la première à lire les premiers chapitres ;)

     

    Interview " si"

     

    ·         Si tu avais une baguette magique, qu'en ferais-tu ?
    Je rangerais la bibliothèque...

    ·         Si tu pouvais vivre à une autre époque, laquelle choisirais-tu ?
    Question très difficile... Je choisirais plutôt un monde inventé par un auteur. Comme Poudlard (rires)

    ·         Si tu devais revivre une journée sans arrêt, quelle serait-elle ?
    Aucune ! J'aime l'idée de pouvoir avancer, que demain est un autre jour, avec ses bonnes comme ses mauvaises surprises.

    ·         Si tu pouvais changer quelque chose dans ta vie, qu’est-ce que ce serait ? 
    Pas grand-chose... La déco, peut-être ?

     

    Portrait chinois : (donne la réponse et le pourquoi, STP) 

     

    ·         Si tu étais une chanson tu serais...
    Don't Worry de Madcom (pour le côté positif)

    ·         Si tu étais un être surnaturel, tu serais...
    Je serais celle qui les combats ! A mort, les vampires ! Vive le dressage de loups-garous !

    ·         Si tu étais un poème, tu serais...
    Un poème en vers libre.

    ·         Si tu étais un genre littéraire, tu serais......
    Un seul ? Le sentimental.

     

    ·         Si tu étais un animal mythologique, tu serais...
    Pégase, fidèle destrier ailé !


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  • BONUS : Mylène Ormerod nous parle de son roman « Les écailles de l’âme »

    Bonjour, Mylène Ormerod, tout d’abord je te remercie d’avoir bien voulu répondre à ce jeu de question/réponse ;-)

    C’est moi qui te remercie pour toute ta gentillesse <3

    1.   Peux-tu te présenter ?

     Oui, alors pour faire cours, j’ai fait des études de photo et d’infographie 3D, j’ai commencé à écrire de temps en temps vers 16 ans, ce qui m’a permis de surmonter pas mal d’épreuves. Et depuis je n’ai pas arrêté, ce qui était un passe-temps est devenu pour moi une raison d’être J

     2.   L'écriture est-elle ton métier ou en as-tu un autre ?

     Malheureusement, l’écriture ne me permet pas de vivre. J’ai un travail à mi-temps en tant que réceptionniste, aide-vétérinaire.

    3.   Depuis combien de temps écris-tu ?

    J’ai commencé il y a 14 ans à écrire de temps en temps et cela doit faire six/sept ans que je me suis mise à écrire dès que je le pouvais.

     4.   Qu’est-ce qui t’a donné l’envie d’écrire, en général ?

    Ce qui m’a donné envie d’écrire, c’est la solitude… J’ai toujours eu du mal à m’intégrer auprès des autres et quand je me suis retrouvée loin de chez moi, sans personne avec qui m’amuser ni parler, l’écriture est ce qui m’a sauvée, d’où l’importance de Trigon à mes yeux, la première histoire que j’ai écrite. Le premier rêve que j’ai construit.

     5.   Où puises-tu ton inspiration ? Quelles sont tes habitudes d'écriture ? (heure, endroit, rituel ?...)

     Mon inspiration, je la puise un peu partout, dans chaque chose que je vois, entends, tout peut me donner des idées, même mes pires cauchemars.

    Je n’ai pas vraiment d’habitude d’écriture, j’écris dès que je peux, quand j’en ai envie, parfois je suis plusieurs jours sans écrire et d’autres fois j’y suis tous les jours, cela dépend vraiment du moment et de comment je me sens.

     6.   Qu’est-ce qui t’a inspiré pour écrire ce roman ?

     Je ne sais pas vraiment ce qui m’a inspirée, j’avais une vision claire du début, puis lentement les idées sont venues et « Les écailles de L’âme » était né. Il serait très difficile pour moi de savoir ce qui m’a inspiré exactement.

     

    7.   Peux-tu nous le présenter, de quoi parle-t-il ?

     Les Ecailles de l’âme, c’est l’histoire d’une jeune femme perdue dans un univers de magie. Elle va faire des rencontres qui vont changer sa vie et lui permettre de s’affirmer. Le chemin qu’elle a à parcourir n’est pas sans douleur mais pas sans amour non plus. C’est un monde où tout est possible, elle est guidée par des lunes mystérieuses et a un destin hors du commun.

     

    8.   Si cette histoire est déclinée en plusieurs tomes, combien de tomes comptera-t-elle et à combien seraient espacées les dates de sorties ?

     En tout il y aura deux tomes, le premier est déjà sorti et le deuxième devrait venir au courant de l’année 2017 si tout va bien, il se peut que ça déborde.

     

    9.   Comment sont nés tes personnages ?

     Mes personnages sont nés au fur et à mesure que j’écrivais, et d’ailleurs j’ai dû reprendre plusieurs fois le début lorsqu’une idée germait afin que tout concorde.

     

    10.Comment as-tu choisi leurs prénoms ? As-tu d’abord eu l’idée du prénom en lui-même ou cela t’est venu après avoir dessiné leur caractère ?

     Pour les prénoms, cela dépend des personnages, par exemple, pour Wymi, il était présent dès le départ et je n’ai pas eu à chercher, pour Azorru par contre c’était différent, il devait avoir une signification particulière et j’ai donc cherché, fais des mélanges de plusieurs significations pour avoir son prénom et par contre pour Mhor aussi il m’est venu tout seul.

     

    11. Ton roman est-il totalement fictif ou as-tu ajouté une part de toi même ?

     J’aimerais pouvoir dire que mon roman est totalement fictif, mais malheureusement ce serait me mentir à moi-même, qu’on le veuille ou non, dans chaque histoire, il y a toujours une petite part de l’auteur, une pensée, un caractère, une folie de lui-même ici et là qui se glisse sans qu’on s’en rende compte. Je pense qu’il y a des parts de moi-même même si je ne pourrais dire exactement où.

     

    12. Pourquoi les lecteurs devraient-ils lire ton roman à ton avis ?

     J’écris pour partager et faire vivre une aventure, alors dans chacune de mes histoires, j’essaie d’offrir le plus de sensations possible. J’ai envie de dépayser, qu’on s’immerge dans un autre monde. Je ne sais pas si j’y suis parvenue, mais je donne le meilleur de moi-même dans chacune de mes histoires afin de faire rêver.

     

    13. Ce roman est-il ton premier écrit ou en as-tu d'autres à ton actif ? Si oui, lesquels et de quels genres ?

     « Les écailles de l’âme » est mon premier Roman publié J

     J’en ai écrit d’autres, mais qui sont encore à travailler comme Trigon par exemple, qui serait en sept ou huit tomes. Cette histoire est un mélange de plusieurs genres, on est proche du réel et de la science-fiction, mais on tend aussi vers le fantastique.

     

    J’ai écrit aussi une petite nouvelle : « À pas de Loup » qui va être disponible à nouveau je l’espère avant Noël ;) où l'on est plus dans le paranormal.

     

    14. As-tu d'autres projets en vue ? Si oui, lesquels ?

     J’ai en vue trois autres projets :

    Le premier : Androgyne qui sera plus de la science-fiction.

    Le deuxième : une romance gay qui sera surement une nouvelle.

    Le troisième : Trigon que je dois réécrire.

     

    15.Veux-tu rajouter quelque chose pour finir ?

     Juste un grand merci à tous ceux qui me lisent et qui s’intéressent à ce que je fais, j’ai hâte de vous faire découvrir tous mes autres univers !!

     

    Interview " si"

     

    ·         Si tu avais une baguette magique, qu'en ferais-tu ?

    Je jetterais un sort à la nature pour la rendre plus forte et indestructible.

     

    ·         Si tu pouvais vivre à une autre époque, laquelle choisirais-tu ?

    Je resterais à mon époque, car je trouve que les autres époques font peur, mais celle-ci ne me plait pas pour autant non plus xD

     

    ·         Si tu devais revivre une journée sans arrêt, quelle serait-elle ?

    Oh, question difficile, je n’en ai aucune idée, un dimanche surement afin d’être tranquille et de pouvoir lire et écrire comme je veux !!!

     

    ·         Si tu pouvais changer quelque chose dans ta vie, qu’est-ce que ce serait ? 

    Mon salaire, si je pouvais changer ça et vivre de mes écrits, ça serait super cool. 


     

    Portrait chinois : (donne la réponse et le pourquoi, STP) 

     

    ·         Si tu étais une chanson tu serais...

    Souvenir de OMD car c’est la chanson que moi et ma famille adorons écouter en boucle.

     

    ·         Si tu étais un être surnaturel, tu serais... 

    Une fée, car elles sont caractérielles et naturelles, elles se fichent pas mal de ce que les autres peuvent bien penser d’elles et font à leur guise.

    ·         Si tu étais un poème, tu serais...

    Un poème des fables de La Fontaine et ses morales, parce que je les aime bien mais il est vrai que je ne connais pas beaucoup d’autres poèmes non plus.

    ·         Si tu étais un genre littéraire, tu serais......

    Science-fiction car dans la SF tout est possible.

    ·         Si tu étais un animal mythologique, tu serais...

    Je serais un renard à 9 queux parce qu’ils sont forts et mignons !!

    ·         Si tu étais le personnage d'un roman, tu serais..

    Je serais un personnage de l’un de mes romans car sinon j’aurais l’impression de me trahir, mais parce que j’aimerais rencontrer mes héros, je serais l’une de mes héroïnes ;)


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  • Bonjour, K. Sangil, tout d’abord je te remercie d’avoir bien voulu répondre à ce jeu de question/réponse ;-)

     

    1.          Peux-tu te présenter?

    Je peux, mais est-ce que je le veux, c’est autre chose^^. J’aime le mystère, qu’il soit dans mes écrits ou dans ma vie.

     

    2.          L'écriture est-elle ton métier ou en as-tu un autre?

    Vivre de l’écriture est un doux rêve. Je travaille dans le social.

     

    3.          Depuis combien de temps écris-tu?

    J’ai commencé assez tôt, j’écrivais en douce après l’école, la nuit et le week-end, puis j’ai arrêté. J’ai investi mon imagination dans des jeux de rôles sur PC, une période que j’ai beaucoup appréciée. Allez, je vais te confier un secret : à un de mes anniversaires (au chiffre rond), je me suis demandé si je regrettais de ne pas avoir mené un projet jusqu’au bout. L’écriture est revenue comme un boulet de canon. Je me suis dit qu’il était temps de me faire plaisir et de terminer le processus : l’écriture, les bêta-lectures et les envois aux éditeurs. "Croire en ses rêves" est devenu ma phrase clé.

    4.          Qu’est-ce qui t’a donné l’envie d’écrire, en général?

    L’envie de vivre d’autres vies, me faire mes propres histoires, vivre et écrire ce que je ne trouvais pas dans les romans.

     

    5.          Où puises-tu ton inspiration? Quelles sont tes habitudes d'écriture? (heure, endroit, rituel?...)


    Parfois c’est une image sur le net qui fait frétiller mon cerveau, une situation ou un article. Par exemple, j’ai lu qu’une équipe avait découvert en Grande-Bretagne des écureuils roux porteurs de la bactérie responsable de la lèpre. Cet animal était défini comme le possible réservoir de cette maladie que l’on n’arrive pas à éradiquer.

    J’ai mis cette info de côté et je sais que je l’utiliserai dans le futur. Quand le banal peut devenir l’incroyable, c’est en général ce que j’aime mettre en avant.

     

    En général, j’écris à mon bureau, sur pc, sans bruit, à siroter du thé avec un chat endormi sur mes cuisses. Mais il m’arrive aussi de noter des idées ou avancer l’écriture d’une scène alors que je prends un café au bistrot. Une fois que je commence à écrire, je peux le faire dix heures d’affilée, mais souvent entrecoupées de mini pauses sur le net. Quand l’inspiration est là, il ne faut pas la lâcher et j’ai la chance de pouvoir la monopoliser une journée entière!

     

    6.          Qu’est-ce qui t’a inspiré pour écrire ce roman?

    Aucune idée. Je sais juste que le 26 décembre 2013, j’ai noté le fil rouge d’une idée et que cela colle assez bien au roman achevé. Lors de l’écriture, il y a toujours des petits trucs qui se rajoutent sans les avoir préméditées, comme la raison de la couverture de « La romancière ». Les personnages savent mener l’écrivain par le bout du nez assez facilement et jusqu’ici j’en suis assez contente.

     

    7.          Peux-tu nous le présenter, de quoi parle-t-il?

    Ce roman dévoile la vie d’Annie Virene, un auteur de romans qui surf sur la vague du succès et qui, au travers d’une interview radiophonique, émet le souhait ironique de rencontrer un jour l’une des créatures qu’elle met en scène. Une boutade qui va changer toute sa vie. De nombreux événements en découleront. Mais existe-t-il vraiment de hasard dans la vie? C’est à découvrir en lisant ce roman.

     

    8.          Si cette histoire est déclinée en plusieurs tomes, combien de tomes comptera-t-elle et à combien seraient espacées les dates de sorties?

    Ce sera une trilogie et un roman devrait sortir par année.

     

    9.          Comment sont nés tes personnages?

    Bien souvent, je cherche une image sur le net, quelque chose qui m’inspire. Ce qui se dégage du dessin vient m’aider à compléter le tableau de chaque personnage. Même si je sais où je veux aller avec leur caractère, il y a souvent des petits trucs auxquels je n’avais pas pensé qui se rajoutent.

     

    10.      Comment as-tu choisi leurs prénoms? As-tu d’abord eu l’idée du prénom en lui-même ou cela t’est-il venu après avoir dessiné leur caractère?

     

    En général je ne connais pas le prénom à l’avance. Je commence l’histoire et quand il faut les nommer j’attends de voir ce qui sort de mon esprit. Un prénom qui colle au visuel. J’aime aussi mettre une part de mon quotidien. Par exemple, dans le tome 1, Anton porte le nom de famille de l’éleveuse de mes chats. Je trouvais que ça collait parfaitement au personnage et cela m’a plu de lier le fictif et le réel.

     

    À ce propos, le prochain concours que je mettrai en place sur ma page Facebook sera la possibilité de proposer deux prénoms féminins pour des personnages du tome 3. Ce sera la première fois que je ne les choisirais pas… le hasard sera de la partie (encore une fois).

     

    11.      Ton roman est-il totalement fictif ou as-tu ajouté une part de toi même?

    Je trouvais drôle de jouer à la romancière qui écrit un livre sur une romancière qui écrit un livre, tu vois? Être à sa place me plairait beaucoup, non pas pour passer à la radio, mais pour rencontrer des êtres de légendes. J’aime le fin lien qui sépare fiction et réalité. Je me suis même amusée avec les remerciements.

    12.      Pourquoi les lecteurs devraient-ils lire ton roman à ton avis? 

    Pour découvrir un clan de vampires inhabituel, une romance qui sort des sentiers battus. Pour découvrir mon monde et surtout pour vous faire plaisir.

     

    13.      Ce roman est-il ton premier écrit ou en as-tu d'autres à ton actif? Si oui, lesquels et de quels genres?

    C’est en effet mon premier roman publié. J’ai écrit d’autres histoires dans la même veine et un roman de fantasy que je corrige actuellement, mais pour l’instant, je n’ai fait aucune recherche d’éditeur pour eux.

    Cette année, j’ai également 4 nouvelles qui ont été choisies pour des anthologies différentes : « Je, tu, il, NOUS » aux éditions Anyway. J’ai participé à ce projet, car tous les bénéfices seront reversés à Handicap International. J’aime l’idée que l’écriture permette l’entraide. Vous trouverez aussi une de mes nouvelles dans l’anthologie « L’hiver » aux éditions Secrètes (sortie prévue le 21 décembre), ainsi que dans l’anthologie « Les héros ne meurent jamais » de Ziô Books (sortie en fin d’année) et pour finir l’anthologie « Dans les yeux du tueur » aux éditions Livre-book (sortie fin 2016 – début 2017).

    J’ai tendance à écrire du fantastique et de la fantasy, mais quand des appels à texte me font de l’œil je ne résiste pas et je peux sortir de ma zone de confort pour un autre genre, comme le thriller.

     

    14.      As-tu d'autres projets en vue? Si oui, lesquels?

    Je suis en pleine relecture du tome 2 du Clan Tarran. Une fois cela terminé, je me plongerai dans l’écriture du tome 3. Je l’ai commencé, mais étant dans le processus de publication du tome 1, j’ai eu de la peine à me concentrer sur la suite. En parallèle, je corrige un roman de fantasy et j’aimerais beaucoup me lancer dans l’écriture d’une histoire steampunk. Ça va déjà m’occuper un petit moment, je pense.

    Sinon, si vous souhaitez me rencontrer, je serai en dédicace au festival Troll & Légende du 14 au 16 avril 2017.

     

    15.      Veux-tu rajouter quelque chose pour finir?

    Je te remercie de m’avoir posé toutes ces questions. Comme je te l’ai dit, j’aime le mystère et en général je ne dévoile pas grand-chose de moi, mais cela m’a fait très plaisir de partager ce moment… On pourrait me qualifier de pipelette là, non ?

     

    Interview " si"

     

    ·         Si tu avais une baguette magique, qu'en ferais-tu?

     

    Si je pouvais exterminer la famine et l’intolérance, je pense que j’aurais réussi ma vie.

     

    ·         Si tu avais pu vivre à une autre époque, laquelle choisirais-tu?

     

    L’époque victorienne, mais juste parce que j’ai le projet d’un roman teinté de steampunk qui me trotte dans la tête.

     

    ·         Si tu devais revivre une journée sans arrêt, quelle serait-elle?

     

    Vivre sans arrêt une journée m’empêcherait de vivre des centaines d’autres, alors je préfère avoir des journées uniques.

     

    ·         Si tu pouvais changer quelque chose dans ta vie, qu’est-ce que ce serait?  

     

    Elle me convient telle qu’elle est. 



     

    Portrait chinois : (donne la réponse et le pourquoi, STP) 

     

    ·                    Si tu étais une chanson tu serais... Rakim, de Dead can Dance. J’adore l’ensemble de leur voix et l’ambiance. J’ai d’ailleurs mis cette chanson dans le roman.

    ·                    Si tu étais un être surnaturel, tu serais... une vampire bien sûr! Ai-je besoin de développer la réponse ? Je ne crois pas ;-).

    ·                    Si tu étais un poème, tu serais... celui qui commence par « Croire en ses rêves » et qui ne se termine jamais.

    ·                    Si tu étais un genre littéraire, tu serais... pour changer de la fantasy, je dirais une fable, parce que j’aime bien quand une morale est sous-entendue.

    ·                    Si tu étais un animal mythologique, tu serais... un griffon. Moitié aigle, moitié lion, mon signe astrologique. Il symbolise force, honneur et protection, un peu ce que j’aime insérer dans mes histoires.

     

    ·                    Si tu étais le personnage d'un roman, tu serais... la prêtresse Sanjo. Mon personnage féminin dans des jeux de rôle sur PC, mais également un des personnages d’une saga que j’aimerai publier dans le futur.


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