• Salon Fantastique Paris 2017

    Salon Fantastique Paris 2017

    Le 06/05/2017 : Esprit du jour : le reporteSalon Fantastique Paris 2017r d’investigation comme Loïs Lane, j’ai même vu Superman ! 

    Le Salon Fantastique porte bien son nom, malgré son labyrinthe et ses courants d'air, j'y ai fait de belles rencontres.

    En plus, j'ai pu retrouver Sorcha, une collègue chroniqueuse des Rebelles-webzine : aussi gentille en vrai que sur la toile !

    Il y régnait de la bonne humeur, les gens étaient souriants, les cosplayers posaient avec plaisir pour des photos. La plupart des costumes étaient juste sublimes.

     

    Salon Fantastique Paris 2017 Salon Fantastique Paris 2017 

    Salon Fantastique Paris 2017 Les stands étaient variés et tous sur le thème du fantastique (sauf celui des bonbons, mais on pardonne). 

     

     Salon Fantastique Paris 2017 Salon Fantastique Paris 2017 Salon Fantastique Paris 2017

     

    Salon Fantastique Paris 2017 

         

     

     Les auteurs étaient accessibles, parlant avec plaisir de leurs livres et de leurs univers et intéressés par leurs lecteurs.

     

     

     

     

    Les intervenants qui tenaient conférence étaient clairs et enthousiastes, ils ont écouté les questions du public avec intérêt et répondu spontanément. 

     

    Salon Fantastique Paris 2017 Les illustrateurs ont eu du succès, ils avaient tous un talent indéniable. 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Salon Fantastique Paris 2017 La musique n'était pas trop forte et les animations se sont enchaînées naturellement (démonstrations de danses, concours, jeux...).

     

     

     

     

     

     

     

    Le 07/05/2017 : Esprit du jour :  l’exploratrice comme Jane sans son Tarzan

    Salon Fantastique Paris 2017Le temps est un peu plus frais que la veille, on aurait bien besoin d’une petite laine au milieu de tous ces courants d’air ! Mais l’esprit bon enfant est toujours présent, les déguisements semblent plus élaborés que ceux de la veille, si c’est possible !

     Salon Fantastique Paris 2017 Salon Fantastique Paris 2017 Salon Fantastique Paris 2017

    Les gens ont passé un agréable moment et cela se ressentait, pas de bousculades, pas de mots désagréables, des sourires, des rires, des rencontres sympathiques. À refaire et à découvrir pour ceux qui l'ont manqué ! 

    Salon Fantastique Paris 2017

    Je remercie l'’illustrateur des affiches du Salon Fantastique, le talentueux Coudray Mathieu, pour l'autorisation de l'utilisation de ces images magnifiques.

    Projet Ulule de Mathieu Coudray pour "les enfants du ciel"

     Liste des Auteurs rencontrés lors du Salon Fantastique !

    Version .pdf pour les Rebelles-webzine !

     

     

  • Projet Ulule de Mathieu Coudray pour "les enfants du ciel"

    Le talentueux Coudray Mathieu, l’illustrateur des affiches du Salon Fantastique a besoin de soutien pour publier 3 magnifiques Artbooks, avec contrepartie pour les contributeurs !

    Découvrez le projet « les enfants du ciel » sur Ulule :
    https://fr.ulule.com/lesenfantsduciel/

    Retrouvez Mathieu :

    • Son site Internet : www.mathieucoudray.com 

    • Sa page Facebook illustrateur : www.facebook.com/CoudrayMathieu


    votre commentaire
  • ITW Emma Cornellis

    Emma Cornellis nous parle de son roman « Les plaines du Mayjong »

    Bonjour, Emma Cornellis, tout d’abord je te remercie d’avoir bien voulu répondre à ce jeu de question/réponse ;-)

    1.       Peux-tu te présenter ?
    Je vis actuellement dans un petit village du Val d’Oise, mais j’ai longtemps vécu à l’étranger, aux Pays-Bas pour être précise. Je suis mariée depuis 8 ans avec l’homme qui partage ma vie depuis 25 ans, et nous avons trois enfants, deux garçons et une fille, tous à des stades différents de l’adolescence !
     

    2.       L'écriture est-elle ton métier ou en as-tu un autre ?
    Je n’ai pas d’autre métier que l’écriture actuellement. J’ai travaillé un temps comme attachée commerciale et je suis aussi diplômée des Beaux-Arts de La Haye aux Pays-Bas.
     

    3.      Depuis combien de temps écris-tu ?
    J’aurai tendance à répondre depuis que j’ai appris à écrire ! Vers dix, douze ans, je remplissais les journaux intimes que l’on m’offrait avec les histoires que j’inventais ! Plus tard, j’ai écrit quelques nouvelles, des débuts de romans jamais achevés…
    Les Plaines de Mayjong est vraiment mon premier roman. Je l’avais en tête depuis pas mal d’années et il y a de cela quatre ou cinq ans, j’ai décidé qu’il était temps d’aller jusqu’au bout pour voir si j’en étais vraiment capable !
     

    4.       Qu’est-ce qui t’a donné l’envie d’écrire, en général ?
    L’envie de raconter mes histoires bien sûr !
     

    5.       Où puises-tu ton inspiration ? Quelles sont tes habitudes d'écriture ? (heure, endroit, rituel ?...)
    Je puise mon inspiration surtout dans mon imagination en fait. Bien sûr mes lectures ou le cinéma alimentent cette imagination, mais aussi l’actualité, un reportage sur l’exploration spatiale ou un débat ! Je crois que lorsqu’on a de l’imagination tout est prétexte à affabuler !
    J’écris la journée, surtout le matin, je n’ai pas de rituel particulier, mais il me faut un endroit calme. J’écoute volontiers de la musique, mais jamais en écrivant, cela me déconcentre trop !
     

    6.      Qu’est-ce qui t’a inspiré pour écrire ce roman ?
    Évidemment la Mongolie m’a beaucoup inspirée pour ce roman ! Mais les plaines que je décris sortent entièrement de mon imagination. La Mongolie représente pour moi un lieu mythique et idéal. Je n’y suis jamais allée et pendant l’écriture de mon roman, j’ai volontairement évité de trop me renseigner sur ce pays, pour que les plaines de Mayjong restent exactement comme je les imagine !
     

    7.          Peux-tu nous le présenter, de quoi parle-t-il ?
    C’est l’histoire de Pauline, une jeune étudiante un peu trop timide et rêveuse. Elle commence à faire des rêves de plus en plus étranges, « des rêves qui ressemblent à des souvenirs », comme elle dit. Pourtant elle sait très bien que c’est impossible ! Mais ses songes sont de plus en plus précis et réalistes et surtout il y a Tao. Un jeune esclave qui semble faire partie de ce songe et fait chavirer son cœur. Elle n’arrive plus à sortir son image de sa tête, elle se dit qu’elle est en train de tomber amoureuse d’un rêve et va tenter de faire disparaitre cette obsession. D’abord en lui trouvant une explication rationnelle (dans son passé), puis en se jetant dans une relation très ambiguë avec Christophe. Un jeune homme bien réel, dont elle est un peu amoureuse.
    Mais Tao et son monde ne vont pas la quitter, bien au contraire ! Alors elle va commencer à se poser des questions qui lui paraissent tellement folles qu’elle va se demander si elle n’est pas en train de perdre la raison…
     
     

    8.      Comment sont nés tes personnages ?
    L’héroïne ressemble un peu à la jeune fille que j’ai pu être à une époque, et certains personnages sont inspirés par les amies que je côtoyais étudiante, mais de très loin ! Par exemple le personnage de Jane est un mélange d’au moins deux personnes réelles ! Sinon pour les personnages sur les Plaines de Mayjong, beaucoup sont nés au fur et à mesure du récit en fait !
     

    9.        Comment as-tu choisi leurs prénoms ? As-tu d’abord eu l’idée du prénom en lui-même ou cela t’est venu après avoir dessiné leur caractère ?
    Les prénoms viennent après, parfois même en dernier. Pour les personnages à Mayjong, je suis allée voir sur des sites de prénoms chinois, pour trouver de l’inspiration ! Pour les personnages évoluant dans le monde étudiant de Pauline, j’ai eu recours à des prénoms temporaires quand je n’arrivais pas à me décider ! Le problème (ou pas !) c’est qu’ensuite le personnage s’approprie tellement son prénom que je suis incapable d’en changer !
    Une exception, c’est le personnage du héros ! Tao est né avec son prénom et j’ai même été assez surprise ensuite en apprenant que ce prénom existait vraiment.
     

    10.    Ton roman est-il totalement fictif ou as-tu ajouté une part de toi même ?
    Comme je l’ai dit précédemment, il y a une part de moi-même dans le personnage de Pauline et aussi dans sa vie d’étudiante, mais pour le reste tout est entièrement fictif.
     

    11.     Comment t’es venue l’idée de cette intrigue onirique ?
    Difficile de répondre ! Je crois qu’à l’origine il y a cette question qui m’intrigue : qu’est-ce que la réalité ? Pourquoi notre monde se réduirait-il à ce que nous pouvons en percevoir ?
     

    12.    Pourquoi les lecteurs devraient-ils lire ton roman, à ton avis ?
    Pour rêver et découvrir des terres inconnues. Les plaines de Mayjong, mais aussi les errances de Pauline qui ne sait où s’arrête le rêve et où commence la réalité. Et puis c’est aussi et surtout une histoire d’amour pleine de rebondissements qui vous fera faire un beau voyage, je l’espère !
     

    13.     Ce roman est-il ton premier écrit ou en as-tu d'autres à ton actif ? Si oui, lesquels et de quels genres ?
    C’est mon premier roman publié et mon premier roman tout court !
     

    14.    As-tu d'autres projets en vue ? Si oui, lesquels ?
    Je me suis lancée dans l’écriture d’une trilogie qui devrait sortir au début de l’année prochaine ! Cette fois je compte vous emmener dans le futur, sur la première exoplanète découverte par l’homme ! Vous y découvrirez Lola, une adolescente qui n’aurait jamais dû naître là-bas et Zven, son ami imaginaire… enfin peut-être pas tout à fait imaginaire !
     

    15.     Veux-tu rajouter quelque chose pour finir ?
    Rien à rajouter !
      

    Interview " si" 

    ·         Si tu avais une baguette magique, qu'en ferais-tu ?
    Bon alors on va éviter les clichés de type « je ferais disparaitre la faim dans le monde » et être très égoïste : je lui ferais faire le ménage, le repassage, les repas et même les courses !
     

    ·        Si tu pouvais vivre à une autre époque, laquelle choisirais-tu ?
    Le Moyen-Age si j’étais une noble Dame ! Ou bien l’époque de la découverte de l’Ouest aux États-Unis et je serais une pionnière !
     

    ·        Si tu devais revivre une journée sans arrêt, quelle serait-elle ?
    C’est dur comme question ! Même les meilleurs moments doivent finir par lasser ! Ah si, je sais ! Un matin de Noël quand mes enfants croyaient encore au Père Noël. Parce que les enfants qui ne font pas de différence entre réel et imaginaire, c’est juste magique !
     

    ·         Si tu pouvais changer quelque chose dans ta vie, qu’est-ce que ce serait ?
    Rien du tout !
     

    Portrait chinois : (donne la réponse et le pourquoi, STP)  

    ·        Si tu étais une chanson tu serais...
    Let’it be des Beattles ! Je suis une incorrigible optimiste, comme dans la chanson je pense que, au fond, il y a toujours une raison de croire en l’humanité.
     

    ·         Si tu étais un être surnaturel, tu serais...
    Une fée, pour avoir une baguette magique (qui ferait mon ménage…etc) !
     

    ·         Si tu étais un poème, tu serais...
    Je ne suis pas très branchée poésie 
    smile! Alors je choisis « La Quête » de Jacques Brel. Une chanson qui me donne des frissons chaque fois que je l’écoute. C’est un texte magnifique sur la poursuite d’un rêve, d’un idéal ou d’un amour.

    ·         Si tu étais un genre littéraire, tu serais...

    Du Fantastique bien sûr, parce que je ne vis pas dans une seule réalité ! 

    ·         Si tu étais un animal mythologique, tu serais...
    Une licorne parce que ma fille est folle des licornes !
     

    ·        Si tu étais le personnage d'un roman, tu serais...
    A part Pauline ? Je me vois bien dans les héroïnes de Jane Austen peut-être. Parce que ce sont des femmes romantiques avec des valeurs et qui malgré une société qui leur laisse peu de choix et peu de place, finissent par s’affirmer, faire des mariages d’amour et rester fidèles à leurs valeurs.

    ITW Emma Cornellis

     

    Version .pdf pour les Rebelles-webzine :


    votre commentaire
  •  Liste des Auteurs rencontrés lors du Salon Fantastique de Paris les 06 et 07 mai 2017

     

    ·         Angel Arekin : Le porteur de mort – T1 – L’apprenti et T2 – Tenshin   

    ·         Aurore Aylin : série les Kergallen   

    ·         Corinne Guitteaud : 393 Résidence Avallon (Les Égériades - T1)   

    ·         D. Lygg : série Entre 2 mondes et Les gardiens de l’ordre sacré- T1 -Le Highlander  

    ·         Emma Cornellis : les plaines du Mayjong   

    ·         Emmanuel Delporte : Stalingrad  

    ·         K. Aisling - série Incandescente 

    ·         K. Sangil : Trilogie Le clan Tarran  

    ·         Laura Black : La Meute de Mervent   

    ·         Loïc Lendemaine – Anthologie Otherlands by Gaslight 

    ·         Mélanie Baranger – Au-delà des Limbes 

    ·         Mélanie Wency : L’envers du paradis T1 – 2 et 3 

    ·         Nathalie Di Meglio : L’Ordre des gardiens – Tome 1 L’élue et Tome 2 La quête 

    ·         Sandra Triname : Salem et À ma vie, à ta mort  

     ·        Shirley. J. Owens : Rebel 

    ·         Stéphane Lesieur & Olivier Walter Chroniques de la cité d’Arenjun - Livre I : Le clan du sanglier et Livre II : Serpent  

    ·         Vincent Portugal Le Souffle des Dieux, Tome 1 : La Magie Perdue et Le Souffle des Dieux, Tome 2 : Le Chant des Djinns   

    ·         Ysaline Fearfaol / Ayleen Night : série la meute des de Chânais & La légende de Djaïd / série La défaite, série Désirs inconnus, série Terre des Castes  

     


    votre commentaire
  •  

    ITW Angel Arekin

    Angel Arekin nous parle de son roman « Le porteur de mort-T2- Tenshin »

    Bonjour, Angel Arekin, tout d’abord je te remercie d’avoir bien voulu répondre à ce jeu de question/réponse ;-)

    1. Peux-tu te présenter ?

    Je suis une maman épanouie de 36 ans, je vivote entre mon boulot, ma vie d’écrivain, ma vie de femme et d’épouse et de mère… Bref, je suis tout à fait normale, mais je vis souvent dans des mondes qui en sont très éloignés.

    2. L'écriture est-elle ton métier ou en as-tu un autre ?

    J’en ai un autre, plus alimentaire, mais qui reste tout de même dans la rédaction : je suis rédactrice de débats. 

    3. Depuis combien de temps écris-tu ?

    Je ne me souviens pas de n’avoir jamais écrit, en réalité. 

    4. Qu’est-ce qui t’a donné l’envie d’écrire, en général ?

    La lecture, tout d’abord. Quand on s’immerge dans une histoire, on s’évade et j’ai eu envie de m’évader encore plus, à travers mon propre univers. 

    5. Où puises-tu ton inspiration ? Quelles sont tes habitudes d'écriture ? (heure, endroit, rituel ?...)

    Je n’ai pas de rituel, en dehors d’un café et de la musique, la musique étant pour moi ma principale source d’inspiration. Une mélodie me raconte déjà une histoire. Ensuite, bien sûr, les romans, quel que soit le genre d’ailleurs. Les films et séries, parfois, et la vie quotidienne. On rencontre parfois des gens fascinants. 

    6. Qu’est-ce qui t’a inspiré pour écrire ce roman ?

    J’ai commencé à écrire le Porteur de Mort à 20 ans. Je ne vous cache pas que je ne me souviens pas de tout ce qui a pu m’y pousser, mais je venais de découvrir la fantasy à travers le seigneur des anneaux et l’assassin royal, et j’ai tellement aimé cet univers où tout est permis, que j’ai eu envie de m’y confronter.  

    7. Peux-tu nous le présenter, de quoi parle-t-il ?

    Décrire une saga de 6 tomes, ce n’est pas une mince affaire. Disons que nous partons d’un jeune homme de 17 ans adepte des conneries, qui se retrouve confronté au choix de sa vie : partir durant 5 ans en apprentissage pour intégrer l’une des confréries de son royaume les plus puissantes, et ainsi prouver à tous qu’il vaut quelque chose, ou bien, poursuivre ses petits méfaits qui le conduiront probablement un jour à la potence…

    Le voici donc en route pour s’éclater pendant 5 ans avec des maîtres de guerre hors norme (dans tous les sens du terme). L’apprentissage n’est pas de tout repos, et pour le disciple et pour les enseignants !

    Seïs est un antihéros pur souche, on aime le détester, on aime le voir évoluer au fil des tomes.

    La saga se découpe en deux voix, d’une part celle du héros, Seïs, et d’autre part, celle de sa cousine, Naïs dont le destin n’aura rien à envier à celui de son co-narrateur. La saga débute. C’est une mise en bouche et chaque tome monte d’un cran. 

    8. Si cette histoire est déclinée en plusieurs tomes, combien de tomes comptera-t-elle et à combien seraient espacées les dates de sorties ?

    6 tomes au total, d’ores et déjà achevés. Normalement, sauf changement, un tome par an. 

    9. Comment sont nés tes personnages ?

    Très bonne question. J’ai commencé la saga quand j’avais 20 ans, autant dire que ça date un peu, puisque j’en ai 36 ! Je suis incapable de m’en rappeler. Le personnage de Seïs est né de Zeek dans the Faculty. Oui, la référence vaut le coup ;) Parce que j’adorais son sens de la rébellion et de la survie, ainsi que sa répartie et sa belle gueule !

    Mais je n’ai pas commencé la fantasy par le Porteur de mort mais par un préquel qui n’a jamais vu le jour, et qui deviendra probablement un spin off plus tard. 

    10. Comment as-tu choisi leurs prénoms ? As-tu d’abord eu l’idée du prénom en lui-même ou cela t’est venu après avoir dessiné leur caractère ?

    Je pars toujours du prénom pour déterminer le caractère. Mais je ne choisis pas vraiment, en réalité, ils s’imposent d’eux-mêmes. 

    11. Ton roman est-il totalement fictif ou as-tu ajouté une part de toi même ?

    Je pense que tous les auteurs ajoutent toujours une petite part d’eux-mêmes dans leurs écrits. Seïs possède mon côté râleur ;) mais le reste est totalement fictif. 

    12. Pourquoi les lecteurs devraient-ils lire tes romans, à ton avis ?

    S’ils désirent s’évader, découvrir un nouvel univers, rigoler un peu et s’enfermer dans leur bulle, c’est à cela que servent les romans, n’est-ce pas ? Celui-ci ne déroge pas à la règle. C’est une porte vers l’aventure, l’épopée, le dépaysement total. 

    13. Tu écris d’autres genres que la Dark Fantasy, notamment de la romance et même, récemment, un roman tiré d’un jeu otome (Gabriel) : qu’est-ce qui te plaît dans cette diversité ?

    Justement la diversité. J’aime toucher à tout ; j’aime créer des univers, des personnages variés et j’ai le goût des défis. Pourquoi rester uniquement sur un seul genre ? Le thriller m’attire aussi beaucoup. 

    14. Cela te permet-il d’agrandir ton public ?

    Quand j’écris, je ne pense jamais en termes de public. J’écris d’abord ce qui me fait envie, ce qui m’envoûte moi-même. Si mes romans trouvent ensuite leur public, j’en suis plus que ravie, mais je crains que ça ne parte au départ d’un désir très égoïste. 

    15. As-tu d'autres projets en vue ? Si oui, lesquels ?

    Oh ! La liste est sacrément longue !

    J’ai plusieurs projets de romance en collaboration avec BMR ainsi que Nisha, bien sûr, mais également mon premier amour, la fantasy, se poursuit avec Plume Blanche. J’ai donc un spin off du Porteur de Mort à retravailler, ainsi que deux autres romans liés au même monde d’ailleurs, en prévision, dont un qui est écrit, mais pas le tome 2. 

    16. Veux-tu rajouter quelque chose pour finir ?

    J’espère que vous apprécierez mon univers, que vous vous y laisserez tomber pour ne plus avoir envie d’en sortir ;)

     

    Vous pouvez re-découvrir d’autres informations dans la rubrique BONUS !

     ITW Angel Arekin ITW Angel Arekin

     

    Version .pdf pour les Rebelles-webzine :


    votre commentaire
  •  

    ITW Aurore Aylin

    Aurore Aylin, Magali (Beta-lectrice) et Ysaline Fearfaol


    Aurore Aylin nous parle de ses romans
     

    Bonjour, Aurore Aylin, tout d’abord je te remercie d’avoir bien voulu répondre à ce jeu de question/réponse ;-) 

    1.          Peux-tu te présenter ?
    Bonjour, je m'appelle Aurore, j'ai bloqué le compteur à 30 ans, donc je ne dirai pas que j'ai quelques années de plus. Je vis en Seine-et-Marne. Passionnée de romance, addict au café et au chocolat, grande amoureuse des chats. Et accessoirement, auteur de romance fantastique.
     

    2.          L'écriture est-elle ton métier ou en as-tu un autre ?
    Je suis professeur des écoles, en maternelle depuis quelques années. Vivre de l'écriture est un rêve, mais les rêves se réalisent parfois, alors qui sait, un jour peut-être...
     

    3.          Depuis combien de temps écris-tu ?
    J'ai toujours plus ou moins écrit, mais c'est en 2014 qu'a commencé l'aventure des Kergallen. J'ai retrouvé des histoires datant de la fin de l'école primaire : fantômes, sorcières... je constate que mes goûts n'ont pas changé depuis !
     

    4.          Qu’est-ce qui t’a donné l’envie d’écrire, en général ?
    Je lis beaucoup, l'écriture est venue naturellement. J'écris les livres que j'aimerais lire, tout simplement. J'ai toujours aimé imaginer des scènes, rejouer des passages de romans ou de films, mais à ma façon. Écrire mes propres histoires, une fois mon univers plus affirmé, était finalement une évidence.
     

    5.       Où puises-tu ton inspiration ? Quelles sont tes habitudes d'écriture ? (heure, endroit, rituel ?...)
    J'écris pendant mes vacances, essentiellement, même si j'aime faire vivre mes personnages à travers des nouvelles entre deux périodes de congé. J'ai besoin d'avoir du temps devant moi pour vraiment me plonger dans mes écrits. Je travaille d'abord dans un cahier, dont les couvertures intérieures sont souvent annotées pour retrouver certaines informations en cours de route. J'ai un surligneur fluo à portée de main, là aussi pour retrouver certaines infos facilement. Je retranscris les chapitres au fur et à mesure sur mon traitement de texte, pour pouvoir les envoyer ensuite à mes relectrices. J'aime bien avoir un café à portée de main pour démarrer ma session d'écriture.
     

    6.       Qu’est-ce qui t’a inspiré pour écrire ces romans ?
    Au départ, c'était un amusement : j'envoyais mes chapitres à deux amies, pour les faire rire. L'une d'elles, qui écrivait aussi son premier roman, faisait de même avec ses chapitres. C'était un petit défi qu'on s'était lancé, sans penser que cela aboutirait à un premier roman pour chacune de nous (La meute de Chânais pour Ysaline Fearfaol, Les Kergallen pour moi), et encore moins le début d'une série complète. Pour le premier tome, j'ai décidé de me faire plaisir : le héros est donc un Highlander en kilt, sexy en diable.
     

    7.       Peux-tu nous les présenter, de quoi parlent-ils ?
    Les Kergallen est une série de romance fantastique dans laquelle on suit les aventures d'une famille de magiciennes bretonnes. La magie se transmet de mère en fille, et si certaines ont choisi d'exploiter leur don dans leur vie professionnelle, d'autres préfèrent séparer leur quotidien de la magie. Je revisite les mythes et légendes celtiques et bretons à travers les aventures de ces femmes. Il y a de la romance, de la magie, de l'humour, et une famille haute en couleurs, avec des personnalités fortes, attachantes et excentriques. On voyage, on rêve, on rit, on tremble...
     

    8.   Si cette histoire est déclinée en plusieurs tomes, combien de tomes comptera-t-elle et à combien seraient espacées les dates de sorties ?
    Je prévois 6 tomes, le 4è est sorti fin mars 2017. Étant auteur indépendante, je mène la création de chaque roman de A à Z, cela me prend donc environ un an pour préparer le synopsis, écrire le livre, puis le corriger, le mettre en page avant de le lancer à la rencontre de son public. Je travaille actuellement sur le tome 5, pour une parution prévue au premier semestre 2018. 
     

    9.   Comment sont nés tes personnages ?
    Thaïs était l'héroïne d'un début de roman commencé en 2012 et jamais terminé. Quand je l'ai repris, j'ai créé son histoire : fâchée avec sa famille, elle ne veut plus entendre parler de la magie au quotidien. C'était amusant de la confronter à un fantôme sexy, elle qui veut mener une vie normale. Chassez le naturel, il revient au galop ! Pour les Kergallen, lorsque je me suis rendue compte que mon histoire allait faire plus que quelques dizaines de pages, ils se sont imposés : une famille excentrique, un peu dingue, avec des personnalités fortes et malicieuses. Je m'y suis énormément attachée, et les lecteurs aussi !
     

    10. Comment as-tu choisi leurs prénoms ? As-tu d’abord eu l’idée du prénom en lui-même ou cela t’est venu après avoir dessiné leur caractère ?
    Les personnalités de chacun se dessinent au fil des romans, certains personnages sortent du lot, s'imposent comme les héros d'un tome, quand d'autres restent en retrait, plus discrets, mais finalement indispensables. Joanna a beaucoup plu à mes deux bêta-lectrices, qui m'ont demandé son histoire après le tome 1. Nina ne devait pas être plus qu'un personnage secondaire, mais à l'issue du tome 2, il y avait trop de choses à raconter pour clôturer son histoire, j'ai donc repoussé l'écriture du tome consacré à Sélène pour écrire le sien.
     

    Pour ce qui est des prénoms, c'est variable, j'ai donné des prénoms à plusieurs membres de la tribu dans le tome 1 sans penser qu'un jour, ils pourraient prendre de l'importance : comme la famille est bretonne, beaucoup portent des prénoms bretons, comme Azilis, Gaëlle, Gwenn, Morgane... Quant aux autres... : Sélène parce qu'elle est brune, comme une petite Sélène que j'avais dans ma classe à ce moment-là, Sophie à cause de son surnom « la Siphonnée », j'aime jouer sur les sonorités et le sens (Sophie signifie « sagesse », et ce personnage est un mélange de folie douce et de grande sagesse), Athénaïs car je trouve ce prénom très élégant, il correspond bien à celle qui est à la tête de la famille. Je ne peux rien dire pour Nina et Marzhin, car ce serait spoïler le tome 2 ! Il me semblait évident de nommer l'héroïne du tome 1 Thaïs, j'aime ce prénom depuis des années, je l'ai découvert par La Méditation, extrait de l'opéra de Massenet, Thaïs, c'est un très beau morceau de violon. Pour Kieran, je cherchais un prénom celte qui me plaise.  Bref, c'est vraiment au feeling. 

    11. Tes romans sont-ils totalement fictifs ou as-tu ajouté une part de toi même ?
    Ils sont fictifs, clairement, mais je crois qu'il y a un peu de moi dans mes héroïnes, forcément. J'avais envie de personnages de femmes modernes, indépendantes, romantiques. Dans le tome 1, je me suis inspirée de mes voyages pour décrire les anecdotes des voyages de Thaïs en Italie (les ampoules suite à la visite de la Villa Borghese, à Rome, par exemple) ou encore du parc à côté de chez moi pour celui où a lieu la première rencontre de Kieran et Thaïs.
     

    12. Pourquoi les lecteurs devraient-ils lire tes romans, à ton avis ?
    Pour rêver, voyager et sourire. C'est en tout cas ce qui ressort de beaucoup de retours de lecteurs :-)
     

    13. Ces romans sont-ils tes premiers écrits ou en as-tu d'autres à ton actif ? Si oui, lesquels et de quels genres ?
    J'ai écrit pas mal de choses avant, mais sans grand intérêt : j'étais davantage dans l'imitation que dans la création, je n'avais pas encore vraiment trouvé mon style et mon univers.
     

    14. Comment as-tu rencontré ta comparse, Ysaline Fearfaol et la meute des de Chânais ?
    Ysaline et moi nous connaissons depuis plus de 7 ans, en fait ! Nous nous sommes rencontrées sur un site de troc de livres de poche : à force d'échanger sur nos lectures, nous avons sympathisé, jusqu'à nous rencontrer, un été, alors qu'elle passait près de chez moi. Puis en janvier 2014, alors qu'elle participait à des défis littéraires, elle m'a envoyé un texte qu'elle avait écrit pour répondre à un sujet. Je lui ai demandé de le développer, tout comme Magali, notre comparse, rencontrée aussi sur ce fameux site de troc. Quelque temps après, elle nous a envoyé le début d'un roman, dans lequel son héroïne, Yseult, se rappelait avoir balancé les affaires de son ex par la fenêtre... J'ai ressorti un texte similaire, écrit deux ans plus tôt, et elle m'en a réclamé la suite. La Meute de Chânais et les Kergallen sont nés ainsi.
     

    15. Comment vous est venue l’idée d’écrire à quatre mains ?
    Une demande des lecteurs, tout simplement : nous avions commencé à emprunter les personnages de l'autre pour rire, dans nos romans ou dans certaines nouvelles. Un jour, on a lancé le premier quatre mains, Pari risqué, une grande tranche de rire. Les lecteurs en ont réclamé plus. Résultat, l'année suivante, nous avons publié Jeux de scène, l'histoire d'un loup de Chânais et d'une magicienne Kergallen.
     

    16. Comment as-tu rencontré Elena Guimard et la meute des Farkasok ?
    Par Ysaline. La magie des réseaux sociaux permet de sympathiser avec plein de gens !
     

    17. Envisages-tu d’intégrer des personnages de sa meute dans tes prochains écrits, comme elle le fait pour les tiens ?
    Ce n'est pas à l'ordre du jour, mais il ne faut jamais dire jamais.
     

    18. As-tu d'autres projets en vue ? Si oui, lesquels ?
    Une fois le tome 6 des Kergallen écrit, je m'attaquerai à une trilogie spin-off. J'ai aussi un petit projet pour un nouveau recueil de nouvelles s'intégrant dans l'univers des Kergallen, différent cependant de celui déjà publié, mais chut ! Je n'en dirai pas plus.
     

    19. Veux-tu rajouter quelque chose pour finir ?
    J'ai été ravie de te rencontrer au Salon Fantastique de Paris, tout comme je suis toujours heureuse de papoter avec les lecteurs et de connaître leur ressenti sur mon univers. L'écriture est une activité solitaire, et ce sont ces échanges qui rendent l'aventure magique. Merci à tous ceux qui contribuent à la magie kergallenesque.
     

    Interview " si"

    ·         Si tu avais une baguette magique, qu'en ferais-tu ? 

    Je la ferais sans doute tomber, car je suis très maladroite. Puis j'essaierais de l'utiliser pour rendre le monde plus doux, plus beau.  

    ·         Si tu pouvais vivre à une autre époque, laquelle choisirais-tu ? 

    Je préférerais vivre dans une dimension magique parallèle plutôt qu'à une autre époque : les époques passées, même si certaines semblent fascinantes, étaient quand même assez rudes.  

    ·         Si tu devais revivre une journée sans arrêt, quelle serait-elle ? 

    Je me suis déjà posée la question, en tant qu'auteur de fantastique : et bien en fait, chaque journée est une aventure, donc je préfère les vivre toutes, même si certaines sont pourries ! 

    ·         Si tu pouvais changer quelque chose dans ta vie, qu’est-ce que ce serait ?  

    Quitter l'enseignement pour vivre de l'écriture:-) Même si j'aime mon métier et mon travail auprès des enfants. 

    Portrait chinois : (donne la réponse et le pourquoi, STP)

    ·         Si tu étais une chanson tu serais... 

    Everything I Do, de Bryan Adams (BO de Robin des Bois, prince des voleurs). C'est une chanson dont les paroles et la mélodie me touchent. 

    ·         Si tu étais un être surnaturel, tu serais... 

    une fée : cf ma réponse à l'interview « si » lol 

    ·         Si tu étais un poème, tu serais... 

    La Lorelei, de Heinrich Heine. Je l'ai appris en allemand, à l'époque du collège, et j'aime l'histoire que raconte ce poème, même si la fin n'est pas joyeuse pour les marins séduits par cette sirène. Je me rappelle d'ailleurs le début du poème, malgré les années écoulées. 

    ·         Si tu étais un genre littéraire, tu serais... 

    La romance : j'en lis, j'en écris, j'aime ça. Le monde est dur et laid, la romance nous permet de rêver avec la certitude que tout finira bien, même si on tremble en chemin. 

    ·         Si tu étais un animal mythologique, tu serais... 

    Une licorne : je trouve cet animal mythique fascinant par la grâce et le mystère qu'il dégage. 

    ·         Si tu étais le personnage d'un roman, tu serais...
    Une héroïne de romance. Reste à savoir laquelle...

    3 - ITW Aurore Aylin

     

    Version .pdf pour les Rebelles-webzine :


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique